L’Organisation des Nations unies compte 193 États-membres (sur les 197 qu’elle reconnaît). Fondée en 1945 au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, elle a pour finalité la paix internationale.
Le chef de l’État congolais avait convié la presse à un déjeuner en marge de l’Assemblée générale des Nations unies. Les discussions ont porté sur les liens avec les États-Unis, le Rwanda, mais aussi sur Stanis Bujakera Tshiamala, notre collaborateur en détention.
Les relations entre Kigali et Kinshasa, la recrudescence des coups d’État en Afrique, l’élection présidentielle de 2024, l’Union africaine et le G20… Le président rwandais répond en exclusivité aux questions de Jeune Afrique.
Très actif sur le plan diplomatique – notamment après le coup d’État au Gabon -, le président centrafricain a entamé une tournée internationale qui doit le mener jusqu’à New York. Tout en gardant un œil sur Bangui, où un jeu de chaises musicales se prépare. Explications.
De nombreux présidents seront présents au rendez-vous onusien de New York, à l’invitation du secrétaire général, António Guterres. Comme chaque année, beaucoup en profiteront pour faire avancer leurs dossiers en coulisses.
Si cette visite n’a pas été officiellement confirmée, elle est toujours programmée. Le président de la transition guinéenne devrait prendre part à l’Assemblée générale de l’ONU, qui s’ouvrira le 19 septembre. Il devrait mettre à profit ce voyage, le troisième à l’étranger, pour rencontrer des investisseurs américains.
Organisée en mai dernier à Ottawa, la deuxième édition du « Concours U7+ des universités » a une nouvelle fois mis en évidence les difficultés auxquelles sont confrontés les jeunes du continent qui aspirent à poursuivre leurs cursus de formation en Occident. Au nombre de ces écueils persistants, l’obtention des visas.
Médiateur pour la Libye et les Grands Lacs, protecteur de la forêt tropicale… À deux ans et demi de la présidentielle, Denis Sassou Nguesso a les mains libres, et du temps, pour enchaîner les voyages diplomatiques.
Si le Maroc a accepté l’offre d’assistance de plusieurs pays après le séisme d’Al Haouz, la France n’a toujours pas reçu de feu vert pour intervenir. Certains s’en étonnent et font le lien avec les relations tendues entre Paris et Rabat. Qui disent regretter une polémique stérile.
Arrivé lundi à Laâyoune pour ce qui constitue sa première visite dans la région, l’émissaire onusien pour le Sahara occidental s’est ensuite rendu à Dakhla. En octobre, le secrétaire général de l’ONU remettra son rapport sur la situation au Conseil de sécurité.
À Tripoli, l’annonce par Israël d’une brève rencontre entre le chef de la diplomatie et son homologue libyenne a provoqué des manifestations violentes et l’éviction de la ministre. Décryptage d’une réaction épidermique.
Alors que le chef de l’État congolais doit prochainement s’exprimer devant l’Assemblée générale des Nations unies, son gouvernement dénonce une nouvelle fois l’inefficacité de la Monusco et exige un départ dans les plus brefs délais.
Un écosystème numérique est en train de se développer au Congo, stimulé par l’ouverture en septembre du Centre africain de recherche en intelligence artificielle. Unique établissement du genre sur le continent, il attire déjà les géants de la tech.
Réunis pour la première fois en sommet continental sur le climat à Nairobi, les pays africains ambitionnent de parler d’une seule voix pour peser sur les décisions de la Cop28 qui se tiendra dans trois mois à Dubaï.
Choisi par les Européens, le diplomate italien Nicola Orlando a vu ses lettres de créance refusées par les autorités libyennes. Qui semblent réagir ainsi à l’activisme de Rome en Méditerranée.
Depuis plus de dix ans, l’environnement et le développement durable sont une composante essentielle de la diplomatie congolaise. Retour sur les principaux enjeux, à quelques semaines du Sommet des trois bassins forestiers tropicaux, qui se tiendra à Brazzaville du 26 au 28 octobre.
Des centaines de migrants éthiopiens auraient été abattus en tentant de franchir la frontière qui sépare le Yémen de l’Arabie saoudite, selon Human Rights Watch. Addis-Abeba annonce une enquête conjointe avec Riyad.
Après des journées de révolte des habitants d’al-Khoms, dans le nord du pays, le Gouvernement d’union nationale dément vouloir laisser exploiter son port par la Turquie.
Tandis que les chefs d’état-major de la Cedeao se réunissent ce 17 août à Accra, le commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité de l’organisation, Abdel-Fatau Musah, maintient les putschistes sous pression et érige la sécurité du président Bazoum en « ligne rouge ».
Depuis le début du coup d’État au Niger, le Maroc s’est montré particulièrement réservé dans ses prises de position. Une attitude mesurée qui tranche avec celle de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), pleinement engagée depuis le renversement du président Bazoum.
Le terrorisme s’étend vers le golfe de Guinée. Or la lutte contre ce fléau est affaiblie par le retrait de la force Barkhane et par l’exacerbation d’un sentiment anti-français dans le Sahel. Seule solution : soutenir Abidjan, qui peut organiser la riposte.
Tunis et Tripoli se sont mis d’accord pour se partager les groupes de migrants subsahariens bloqués pour certains depuis un mois près du poste frontière de Ras Jedir.
La Banque mondiale a annoncé qu’« aucun nouveau financement public pour l’Ouganda » ne serait soumis à son conseil d’administration. En cause : la loi homophobe promulguée fin mai par le président Museveni.
Après le putsch qui a renversé le président Bazoum, une éventuelle intervention militaire de la Cedeao pourrait encore aggraver le chaos sahélien. À moins que les forces vives du Niger ne réagissent.
Les ministres des Affaires étrangères malien et burkinabè ont adressé, mardi 8 août, un courrier au Conseil de sécurité des Nations unies pour réaffirmer l’opposition de leurs pays respectifs à toute intervention militaire de la Cedeao au Niger, laquelle serait « improductive, voire contre-productive ».
Pris dans la guerre qui oppose Abdel Fattah al-Burhane à Hemetti, les habitants de Khartoum doivent faire face à un nouveau danger. Des milliers de corps se décomposent dans les rues de la capitale, exposant la population à un risque sanitaire majeur.
La délégation de la Cedeao, des Nations unies et de l’Union africaine, qui devait arriver à Niamey ce 8 août, s’est vu refuser l’entrée dans le pays par les putschistes.
Au Maghreb, le réchauffement climatique n’est plus une vue de l’esprit mais une réalité tangible dont les conséquences se font déjà cruellement sentir.