Comme à chaque période de doute sur l’évolution du cours des produits pétroliers, la réunion à Alger, fin septembre, de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a permis de s’interroger une nouvelle fois sur l’utilité de cette entité.
La décision de l’Opep de réduire la production d’or noir pour faire remonter les cours apporte une bouffée d’oxygène en Algérie. Il était temps : les comptes du pays sont dans le rouge, le coût de la vie augmente et le mécontentement gronde.
Le 4 octobre en conseil des ministres, le gouvernement algérien a présenté un projet de loi de finances, une nouvelle fois axé sur la maîtrise des dépenses publiques. Au programme : réduction des dépenses d’équipement et hausse du prix des produits de base. Ce texte promet d’ores et déjà un débat houleux à l’Assemblée.
Durement affectés par la chute des cours, les quatorze pays membres de l’organisation se sont enfin mis d’accord pour réduire leur production d’or noir. Déjà, le prix du baril remonte. Jusqu’où et jusqu’à quand ?
Coup de théâtre à Alger : les pays de l’Opep sont parvenus mercredi soir à un accord « historique », selon les mots du ministre qatari de l’Énergie et président de la réunion, pour réduire leur production de pétrole. Une décision — une première depuis huit ans — qui doit permettre de soutenir les prix, divisés par deux depuis la mi-2014. En présence du Gabon, qui a réintégré le cartel des pays producteurs début juillet.
Alger, qui accueille la prochaine réunion de l’Organisation de pays producteurs de pétrole (Opep) fin septembre, mène une offensive diplomatique pour arriver à un accord sur le prix qui stabiliserait le cours du brut. Le baril restait sous les 50 dollars lundi.
La Russie prévoit de participer en octobre à une réunion avec l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), dont elle n’est pas membre, a annoncé mardi le ministre russe de l’Énergie, alors que le marché s’interroge sur de possibles mesures communes de stabilisation de l’offre.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a confirmé mercredi entrevoir un rééquilibrage du marché pétrolier en 2017, avec une demande mondiale qui continuera à croître face à une accélération du déclin de la production dans les pays n’appartenant pas au cartel.
Le président de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), Mohammed Bin saleh Al-Sada, a annoncé que les 14 pays membres du cartel tiendront une réunion informelle en marge du forum énergétique prévu fin septembre à Alger. L’occasion peut-être de relancer les négociations sur un gel de la production afin de soutenir les cours du brut.
L’ancien patron de la compagnie nationale des hydrocarbures du Nigeria (NNPC) a été élu ce jeudi au poste de secrétaire général de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole. Il prend la succession du Libyen Abdullah al-Badri.
Après une chute drastique depuis deux ans, le prix du baril était remonté ces trois derniers mois, passant de 27 dollars mi-janvier à près de 45 dollars mi-avril.
La production de brut des pays de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole a baissé en février malgré la levée des sanctions internationales frappant l’Iran, un de ses membres, indique le cartel dans son rapport mensuel paru lundi.
Les cours du pétrole se sont rapprochés dangereusement du plancher des 30 dollars le baril, exacerbant les remous au sein de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep).
Le Nigérian Emmanuel Ibe Kachikwu a plaidé ce mardi pour la tenue d’une réunion extraordinaire du cartel début mars pour examiner la dégringolade des prix du brut.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), réunie à Vienne le 04 décembre, a maintenu les quotas de production des pays membres du cartel à 30 millions de barils par jour (mbj), faute de s’être mis d’accord sur un nouveau plafond.
Le cartel de douze grands pays pétroliers, dont la production continue de dépasser les quotas fixés, mise sur une demande mondiale plus forte, capable de réduire le déséquilibre du marché et soutenir le cours du pétrole.
Le ministre algérien de l’Energie a demandé à l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, dont son pays est membre, de réduire sa production pour enrayer la chute des cours, dans des propos cités dimanche par l’agence APS.
La ministre nigériane des Ressources pétrolières, Diezani Alison-Madueke, est devenue la première femme nommée à la présidence tournante de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), dont la création remonte à 1960.
L’Ofid, le fonds Opep pour le développement international, a signé avec Afreximbank un accord de 60 millions de dollars pour l’ouverture d’une ligne de crédit. Cette somme sera dévolue par la banque au financement du commerce.
Lors de sa première réunion en Angola, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) devrait décider de garder ses niveaux de production inchangés. Le prix actuel du baril (75 dollars) est jugé « confortable » par l’ensemble des membres.
Pétrole, mines, tourisme, BTP, télécoms… Le pays diversifie son économie et affiche une croissance de plus de 10 %. La récession et un patriotisme exacerbé sont les deux handicaps du « miracle » angolais.