Organisation internationale de la francophonie (OIF)
L’organisation internationale de la francophonie est une institution dont les Etats ou gouvernements membres ont en commun la langue française. Le rapport de l’Observatoire de la langue français datant de 2014 estime qu’il y a 274 millions de locuteurs répartis sur les cinq continents. S’appuyant sur un dispositif institutionnel fixé par la Charte de la Francophonie et un corpus de valeurs (démocratie, dialogue des cultures et civilisations, promotion de l’éducation, diversité culturelle et linguistique, etc.), l’organisation vise à promouvoir la langue française et les relations de coopération entre les 80 Etats et gouvernements (membres ou observateurs) de l’OIF. Michaëlle Jean, ancienne gouverneur général du Canada d’origine haïtienne, est secrétaire générale depuis le 1er janvier 2015.
Les autorités de RDC ont tenu à rassurer quant au dispositif sécuritaire mis en place pour protéger la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie, à quelques jours de la neuvième édition des Jeux.
Pendant que la communauté internationale se réunissait lors du sommet pour un nouveau pacte financier mondial, l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) et le Commonwealth ont défendu le principe de vulnérabilité des États, pour plus d’équité.
Les jeunes Marocains sont de plus en plus nombreux à choisir d’aller étudier au Canada, et plus particulièrement au Québec. À cela plusieurs explications. Enquête.
La Ceni a obtenu la validation de son fichier électoral au terme d’un audit controversé. Et alors que pendant des mois on a craint un report des scrutins prévus le 20 décembre prochain, la commission électorale paraît déterminée à tenir les délais. Coûte que coûte.
Après le désistement de l’OIF, la Commission électorale nationale indépendante s’active pour trouver des partenaires étrangers capables de la remplacer.
La décision de la secrétaire générale de ne pas reconduire Geoffroi Montpetit comme administrateur de l’organisation francophone a provoqué un regain de tension avec Ottawa, qui vient de décider de revoir sa contribution financière à la baisse.
La secrétaire générale de la Francophonie a désigné la Québécoise Caroline St-Hilaire au poste d’administratrice. Cette nomination devrait être confirmée le 21 mars.
Le départ de Geoffroi Montpetit de son poste de numéro deux de la Francophonie a suscité un début de controverse dans la presse canadienne. Totalement injustifié, selon l’institution.
La province canadienne a adopté sa première Stratégie territoriale pour l’Afrique. Objectif : pallier la pénurie de travailleurs à laquelle elle est confrontée et dynamiser ses échanges commerciaux avec le continent.
Le sommet de l’Union africaine, qui s’est achevé le 19 février, a été le théâtre d’un intense lobbying des dirigeants présents… Et de quelques remous lors de la conférence des chefs d’État. Coulisses.
En décrétant que le plus grand stade du pays, sis à Kinshasa, n’est pas, contrairement à celui de Lubumbashi, en mesure d’accueillir des rencontres panafricaines, la CAF a mis le doigt dans une querelle bien plus politique qu’il n’y paraît, en pleine année électorale.
Le pape François est arrivé à Kinshasa le 31 janvier pour un séjour de trois jours, avant de se rendre à Djouba, capitale du Soudan du Sud. Deux visites en forme d’exercices d’équilibriste pour le souverain pontife.
Henri Monceau est directeur de la Francophonie économique qui tenait son forum au lendemain du sommet de l’OIF. Il considère le partenariat avec l’organisation dirigée par Louise Mushikiwaboe comme indispensable, notamment pour endiguer le recul de la langue française.
Après avoir traversé une mauvaise passe, la cheffe du gouvernement tunisien revient aujourd’hui au centre du jeu, au moins jusqu’aux législatives de décembre prochain.
La secrétaire générale de l’OIF a été reconduite dans ses fonctions, non sans avoir fait souffler à Djerba un vent de renouveau sur le 18e sommet de l’institution.
Malgré les reports successifs, les doutes et les petits accrocs protocolaires, le 18e sommet de la francophonie a ouvert ses portes comme prévu à Djerba. Son organisation a pourtant été semée d’embûches pour les autorités tunisiennes.
Si l’inauguration officielle du 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), à Djerba, a eu lieu dans la matinée du 19 novembre, le coup d’envoi a été donné la veille, avec la traditionnelle conférence ministérielle. L’occasion pour les délégations d’aborder les dossiers sensibles du moment.
Le 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) se tiendra les 19 et 20 novembre en Tunisie. Une dizaine de présidents africains feront le déplacement.
Élue en 2018 grâce au soutien de la majorité des pays africains et de Paris, la secrétaire générale de l’OIF brigue un second mandat. Si ses méthodes ont pu faire polémique, les résultats obtenus parlent en sa faveur. Aucun autre candidat ne se présente face à elle.
À l’approche de l’ouverture du 38e sommet de la Francophonie, ce 19 novembre, à Djerba, les autorités tunisiennes ont donné le coup d’envoi des festivités en inaugurant le village dédié à l’événement. Un rendez-vous en partie gâché par plusieurs ratés protocolaires.
On connaît l’implantation séculaire juive à Djerba et le célèbre pèlerinage annuel à la Ghriba, on sait moins que la communauté grecque y a implanté le culte orthodoxe et que l’islam pratiqué est ibadite. C’est cette terre œcuménique qui s’apprête à accueillir le 18e sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie, les 19 et 20 novembre.
Le prochain sommet aura bien lieu en Tunisie en novembre. Et il devrait voir la reconduction à la tête de l’organisation de Louise Mushikiwabo, seule candidate à sa propre succession.
Rencontres d’affaires, visites de terrain, accords de coopération… Henri Monceau, directeur de la Francophonie économique et numérique de l’OIF, dévoile à JA le plan d’action de l’organisation au Gabon et au Rwanda.
La porte-parole de l’Organisation internationale de la Francophonie tient à répondre aux critiques concernant l’élection de son prochain secrétaire général. Laquelle est toujours prévue lors d’un sommet en présentiel à Djerba.
Déjà reporté à deux reprises, le sommet de la Francophonie, qui doit se tenir en novembre en Tunisie, fait de nouveau l’objet d’inquiétudes. En cause : des tensions politiques et diplomatiques.
Dans le cadre d’une mission économique et commerciale de l’OIF, quatre pays ouest-africains ont renforcé leur coopération avec Hanoï. Pour bénéficier de son expertise agricole et s’ouvrir de nouveaux marchés.
Si les échanges commerciaux entre le tigre asiatique et le continent sont au beau fixe, le transfert de technologies n’est pas au rendez-vous, contrariant les ambitions de transformation locale du continent.