Organisation internationale de la francophonie (OIF)
L’organisation internationale de la francophonie est une institution dont les Etats ou gouvernements membres ont en commun la langue française. Le rapport de l’Observatoire de la langue français datant de 2014 estime qu’il y a 274 millions de locuteurs répartis sur les cinq continents. S’appuyant sur un dispositif institutionnel fixé par la Charte de la Francophonie et un corpus de valeurs (démocratie, dialogue des cultures et civilisations, promotion de l’éducation, diversité culturelle et linguistique, etc.), l’organisation vise à promouvoir la langue française et les relations de coopération entre les 80 Etats et gouvernements (membres ou observateurs) de l’OIF. Michaëlle Jean, ancienne gouverneur général du Canada d’origine haïtienne, est secrétaire générale depuis le 1er janvier 2015.
Le sommet de l’Union africaine, qui s’est achevé le 19 février, a été le théâtre d’un intense lobbying des dirigeants présents… Et de quelques remous lors de la conférence des chefs d’État. Coulisses.
En décrétant que le plus grand stade du pays, sis à Kinshasa, n’est pas, contrairement à celui de Lubumbashi, en mesure d’accueillir des rencontres panafricaines, la CAF a mis le doigt dans une querelle bien plus politique qu’il n’y paraît, en pleine année électorale.
Le pape François est arrivé à Kinshasa le 31 janvier pour un séjour de trois jours, avant de se rendre à Djouba, capitale du Soudan du Sud. Deux visites en forme d’exercices d’équilibriste pour le souverain pontife.
Henri Monceau est directeur de la Francophonie économique qui tenait son forum au lendemain du sommet de l’OIF. Il considère le partenariat avec l’organisation dirigée par Louise Mushikiwaboe comme indispensable, notamment pour endiguer le recul de la langue française.
Après avoir traversé une mauvaise passe, la cheffe du gouvernement tunisien revient aujourd’hui au centre du jeu, au moins jusqu’aux législatives de décembre prochain.
La secrétaire générale de l’OIF a été reconduite dans ses fonctions, non sans avoir fait souffler à Djerba un vent de renouveau sur le 18e sommet de l’institution.
Malgré les reports successifs, les doutes et les petits accrocs protocolaires, le 18e sommet de la francophonie a ouvert ses portes comme prévu à Djerba. Son organisation a pourtant été semée d’embûches pour les autorités tunisiennes.
Si l’inauguration officielle du 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), à Djerba, a eu lieu dans la matinée du 19 novembre, le coup d’envoi a été donné la veille, avec la traditionnelle conférence ministérielle. L’occasion pour les délégations d’aborder les dossiers sensibles du moment.
Le 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) se tiendra les 19 et 20 novembre en Tunisie. Une dizaine de présidents africains feront le déplacement.
Élue en 2018 grâce au soutien de la majorité des pays africains et de Paris, la secrétaire générale de l’OIF brigue un second mandat. Si ses méthodes ont pu faire polémique, les résultats obtenus parlent en sa faveur. Aucun autre candidat ne se présente face à elle.
À l’approche de l’ouverture du 38e sommet de la Francophonie, ce 19 novembre, à Djerba, les autorités tunisiennes ont donné le coup d’envoi des festivités en inaugurant le village dédié à l’événement. Un rendez-vous en partie gâché par plusieurs ratés protocolaires.
On connaît l’implantation séculaire juive à Djerba et le célèbre pèlerinage annuel à la Ghriba, on sait moins que la communauté grecque y a implanté le culte orthodoxe et que l’islam pratiqué est ibadite. C’est cette terre œcuménique qui s’apprête à accueillir le 18e sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie, les 19 et 20 novembre.
Le prochain sommet aura bien lieu en Tunisie en novembre. Et il devrait voir la reconduction à la tête de l’organisation de Louise Mushikiwabo, seule candidate à sa propre succession.
Rencontres d’affaires, visites de terrain, accords de coopération… Henri Monceau, directeur de la Francophonie économique et numérique de l’OIF, dévoile à JA le plan d’action de l’organisation au Gabon et au Rwanda.
La porte-parole de l’Organisation internationale de la Francophonie tient à répondre aux critiques concernant l’élection de son prochain secrétaire général. Laquelle est toujours prévue lors d’un sommet en présentiel à Djerba.
Déjà reporté à deux reprises, le sommet de la Francophonie, qui doit se tenir en novembre en Tunisie, fait de nouveau l’objet d’inquiétudes. En cause : des tensions politiques et diplomatiques.
Dans le cadre d’une mission économique et commerciale de l’OIF, quatre pays ouest-africains ont renforcé leur coopération avec Hanoï. Pour bénéficier de son expertise agricole et s’ouvrir de nouveaux marchés.
Si les échanges commerciaux entre le tigre asiatique et le continent sont au beau fixe, le transfert de technologies n’est pas au rendez-vous, contrariant les ambitions de transformation locale du continent.
Le 16 mars, l’Organisation internationale de la francophonie a adopté une résolution condamnant l’offensive de Moscou. Un quasi-consensus qui n’a pas été facile à trouver, explique la secrétaire générale de l’organisation.
Lancée en 2020, la Francophonie économique fait l’objet de la plus grande attention de la part de l’OIF et de sa secrétaire générale, Louise Mushikiwabo. Avec un certain succès à en croire ses premiers résultats concrets.
Lancé par le Tunisien Kaïs Mabrouk, ce réseau rassemblant huit établissements francophones privés se veut la réplique du célèbre programme interuniversitaire de l’Union européenne. Les institutions du continent ont également engagé des initiatives similaires.
Après le nouveau report du Sommet de l’organisation internationale de la Francophonie et les propos polémiques de l’ancien président Moncef Marzouki, « la question française » a brusquement ressurgi dans le débat politique. Explications.
Son organisation en temps et en heure semblait de plus en plus compromise. Prévu en novembre sur l’île du Sud tunisien, le sommet de l’OIF a finalement été reporté d’un an. Explications.
À quelques mois du XVIIIe Sommet de la Francophonie, la cheffe de la diplomatie québécoise revient sur les priorités de la province sur la scène internationale.
Pour avoir publiquement exprimé son étonnement et son émoi face à la « montée d’un sentiment anti-français en Afrique », le président Emmanuel Macron soulève une interrogation qui mérite que l’on s’y arrête.
À mi-mandat, et alors que l’OIF fête cette année son 50ème anniversaire en Tunisie, la secrétaire générale de l’organisation revient sur son bilan, ses projets, et répond aux critiques sur son mode de management.
L’ancien conseiller de François Mitterrand et d’Emmanuel Macron a répondu aux questions de Jeune Afrique sur les tendances de fond et les « disruptions » appelées à affecter les perspectives du continent.
La Fifa a annoncé la nomination de l’ex-secrétaire générale de la Francophonie à la présidence de la Fédération haïtienne de football. Des fonctions qu’elle assumera jusqu’en 2022.