Organisation internationale de la francophonie (OIF)
L’organisation internationale de la francophonie est une institution dont les Etats ou gouvernements membres ont en commun la langue française. Le rapport de l’Observatoire de la langue français datant de 2014 estime qu’il y a 274 millions de locuteurs répartis sur les cinq continents. S’appuyant sur un dispositif institutionnel fixé par la Charte de la Francophonie et un corpus de valeurs (démocratie, dialogue des cultures et civilisations, promotion de l’éducation, diversité culturelle et linguistique, etc.), l’organisation vise à promouvoir la langue française et les relations de coopération entre les 80 Etats et gouvernements (membres ou observateurs) de l’OIF. Michaëlle Jean, ancienne gouverneur général du Canada d’origine haïtienne, est secrétaire générale depuis le 1er janvier 2015.
Elles occupent des postes stratégiques dans le public comme dans le privé. Au pouvoir depuis 1994, le FPR a fait de leur ascension l’un des piliers de sa politique.
Écrivain, diplomate, ancien candidat à la direction de l’Organisation internationale de la francophonie, le Congolais revient sur son parcours avec un livre somme, « Il est déjà demain ».
Arrivée le 31 octobre au Congo, la Rwandaise Louise Mushikiwabo récemment nommée à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), a promis d’être « attentive » à la région d’Afrique centrale et du Bassin du Congo durant son mandat qui démarre en janvier 2019.
La présidence française a mobilisé plusieurs de ses conseillers afin d’assurer l’élection de la Rwandaise Louise Mushikiwabo au poste de secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), vendredi 12 octobre à Erevan.
Par plusieurs gestes hautement symboliques en direction du continent africain, le président français Emmanuel Macron montre qu’il veut changer de paradigme. Sans pour autant renoncer à ses positions stratégiques.
Tout aura été tenté auprès de Michaëlle Jean, la secrétaire générale sortante de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), pour qu’elle retire sa candidature avant le sommet d’Erevan, durant lequel Louise Mushikiwabo a été élue.
D’une rencontre avec le président guinéen Alpha Condé à l’élection présidentielle au Cameroun, en passant par le sommet de la Francophonie à Erevan, l’actualité africaine de la semaine du 8 octobre vue par François Soudan.
La ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, a été désignée secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour un mandat de quatre ans par les chefs d’État et de gouvernement réunis lors du sommet d’Erevan. Elle prendra ses fonctions le 3 janvier.
Deux visions divergentes se sont exprimées lors de la cérémonie d’ouverture du XVIIe sommet de la Francophonie. Le Français Emmanuel Macron veut un espace où « personne n’a de leçon à donner ». La secrétaire générale sortante, Michaëlle Jean, a pour sa part estimé « qu’une organisation qui ruse avec ses valeurs et ses principes est déjà moribonde ».
Quelques heures avant l’ouverture du sommet d’Erevan, l’Arabie saoudite a décidé de reporter sa demande d’adhésion à l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Cette décision devrait éviter un débat qui s’annonçait vigoureux entre les chefs d’État francophones.
Élection de la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), participation des chefs d’État et étude des demandes d’adhésion à l’organisation : le point sur les trois sujets à surveiller lors du XVIIe sommet de la Francophonie, qui se tient jusqu’au 12 octobre à Erevan, en Arménie.
En préambule du Sommet de la Francophonie d’Erevan, les ministres des Affaires étrangères de l’organisation se sont mis d’accord pour ouvrir deux nouveaux bureaux régionaux, à Tunis et Beyrouth.
Le gouvernements du Canada et du Québec ont annoncé mardi qu’ils se rallieraient au « consensus » en faveur de la candidature de la Rwandaise Louise Mushikiwabo à la tête de l’OIF.
La Gambie, l’Irlande, l’État américain de la Louisiane et Malte ont demandé à intégrer l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) à l’occasion du sommet d’Erevan. Les chefs d’État doivent aussi se prononcer sur le cas, beaucoup plus épineux, de l’Arabie saoudite.
L’histoire montre que, sans le soutien des peuples, les institutions intergouvernementales sont condamnées. Alors que démarre le sommet d’Erevan, et dans un contexte où le multilatéralisme est sans cesse en recul, l’économiste Kako Nubukpo et l’historienne Caroline Roussy lancent un appel à une « francophonie de l’action » qui « assume son devoir de subversion ».
Le soutien du président français à la candidature de Louise Mushikiwabo a surpris. De l’option africaine voulue par Emmanuel Macron au choix de la ministre rwandaise des Affaires étrangères, retour sur plusieurs mois de tractations diplomatiques.
Qui, de Michaëlle Jean, la sortante, ou de Louise Mushikiwabo, la grande favorite, sera élue secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) à l’issue du sommet d’Erevan, en Arménie, le 12 octobre ?
La secrétaire générale sortante aborde l’élection en position d’outsider. Seul un ferme veto de ses partisans visant sa rivale pourrait lui permettre d’obtenir un second mandat.
Dix ans après la réforme qui le relégua au second plan dans l’enseignement, l’administration et l’ensemble de la fonction publique, le français effectue un discret retour.
Le budget de la chaîne risque de se voir de nouveau diminuer en 2019. Yves Bigot, son directeur général, souhaite profiter du sommet d’Erevan pour obtenir de nouveaux financements.
Fière de son bilan, attachée à une Francophonie politique, porteuse de « valeurs universelles », la Canadienne fourbit ses armes à la veille du sommet de l’OIF, à Erevan. Non sans égratigner au passage l’« inélégance » du président français Emmanuel Macron et le « relativisme » de sa rivale, la Rwandaise Louise Mushikiwabo.
En marge de l’Assemblée générale des Nations unies qui vient de se clore à New York, Michaëlle Jean, soutenue par le Canada, et Louise Mushikiwabo, qui peut notamment compter sur la France et l’UA, ont rivalisé en coulisses à quelques jours du prochain sommet de l’OIF.
On saura le 12 octobre, à Erevan, si Louise Mushikiwabo succédera à Michaëlle Jean à la tête de l’OIF. Alors que s’ouvre l’assemblée générale de l’ONU, rendez-vous crucial pour les deux concurrentes, la ministre rwandaise des Affaires étrangères s’est confiée à Jeune Afrique.
Pour l’économiste Kako Nubukpo, l’enjeu majeur de la Francophonie économique devrait être la construction d’un paradigme de l’économie fondé sur les valeurs et l’éthique portées par les autres dimensions de l’organisation.
Tandis que la ministre rwandaise des Affaires étrangères sillonne les pays membres de l’OIF pour récolter les soutiens, la secrétaire générale sortante opte pour une stratégie plus feutrée à l’approche du sommet d’Erevan.
Le CDR du militant contestataire et homme de radio malien Ras Bath a annoncé mardi 11 septembre la fin de son « accord politique » avec l’opposant Soumaïla Cissé, qu’il avait soutenu lors de la présidentielle. Il revient pour Jeune Afrique sur les raisons de cette décision.
Après Erevan, en Arménie, en octobre prochain, ce sera au tour de Tunis d’accueillir, en 2020, le sommet de la Francophonie, laquelle fêtera alors son cinquantenaire. Au cœur des préparatifs de l’événement : Ferid Memmich.
Le match entre la Rwandaise Louise Mushikiwabo et la Canadienne Michaëlle Jean aura-t-il lieu ? Tandis que plusieurs dirigeants africains espèrent un forfait du Canada, l’entourage de la secrétaire générale de l‘OIF assure qu’elle ne jettera pas l’éponge.
Dans le cadre de sa tournée, Louise Mushikiwabo, candidate au poste de Secrétaire général de l’OIF, devrait en août sillonner d’autres pays membres de l’Organisation, notamment en Europe centrale et en Asie du Sud-Est.