L’annonce de sa candidature était attendue depuis juillet et les perspectives s’annoncent plutôt favorables pour la Nigériane, sauf une nouvelle victoire de Donald Trump à la Maison Blanche qui avait bloqué sa nomination en 2020.
Le groupe africain a demandé à l’ancienne ministre des Finances du Nigeria de se présenter pour un second mandat à la tête de l’Organisation mondiale du commerce. La dirigeante ne s’est pas encore exprimée sur ses intentions.
Le ministre du Commerce commente les résultats de la politique menée ces dernières années par Yaoundé pour accroître la production nationale. Il explique également comment le Cameroun entend tirer profit de l’essor des échanges intra-africains.
L’archipel met les bouchées doubles pour réactiver son plan de développement, avec le soutien financier de sa diaspora et des bailleurs internationaux. Objectif : se remettre sur les rails de l’émergence, que le président Azali Assoumani a fixée pour 2030.
Diplomatie, économie, crises politiques, sécurité… Quelques mois avant de quitter la tête de l’Union africaine et de se représenter à la magistrature suprême, le chef de l’État comorien revient sur une année 2023 riche en événements pour l’Afrique et pour son pays.
L’appropriation des ressources nationales est unanimement revendiquée par la société gabonaise. Mais ce que d’aucuns comparent à un repli identitaire n’est en réalité que la mise en application d’une doctrine économique classique, selon Luc Pandjo Boumba.
L’ancienne ministre rwandaise prendra le 1er octobre la tête du bureau Afrique de l’Organisation internationale, où elle remplace la Nigériane Cynthia Samuel-Olonjuwon.
Nommé à la tête de l’institution de financement international, le 1er juin, cet homme au profil atypique et aux qualités recherchées était soutenu par les États-Unis. Il succède à David Malpass.
Comment améliorer la sécurité alimentaire du continent ? Quels sont les leviers pour lutter contre le changement climatique ? Comment soutenir le commerce interafricain ? En amont de l’Africa CEO Forum, le directeur de la Société financière internationale (IFC) détaille les actions de son institution.
Washington et Pékin ont chacun constitué un bloc économique régional. Pour soutenir la comparaison et stimuler les échanges multilatéraux, l’Union européenne doit chercher des partenaires au Sud.
Pour Jean-Marie Paugam, directeur général adjoint de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), mondialisation et lutte contre le changement climatique n’est plus un oxymore. Entretien.
Ébranlées depuis deux ans par des crises successives, les chaînes d’approvisionnement mondiales se réorganisent, refaçonnant les échanges commerciaux. Le continent peut en tirer parti, estiment les experts.
Poursuite à Genève, jusqu’au 29 juillet, de l’Examen Global 2022 de l’aide pour le commerce. Ngozi Okonjo-Iweala, directrice générale de l’OMC, Rebeca Grynspan, secrétaire générale de la Cnuced et Pamela Coke-Hamilton, directrice exécutive du Centre du commerce international, invitent les dirigeants du monde à agir de manière coordonnée face aux pressions inflationnistes que subissent leurs économies.
Gestion et impact du Covid-19, régulation de la pêche, place du numérique, autosuffisance alimentaire et production locale… Pour Jeune Afrique, la DG de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) fait le point sur ces préoccupations qui animent le continent.
Après cinq jours d’intenses négociations entre ses 164 États membres, l’Organisation mondiale du commerce (OMC) est parvenue à s’accorder sur plusieurs mesures. Un résultat « sans précédent », d’après sa directrice générale, Ngozi Okonjo-Iweala. Trois points pour comprendre leur impact à l’échelle du continent.
Crises politiques en Afrique de l’Ouest, croissance économique du continent, équité du commerce, avenir de la Zlecaf, accès aux vaccins… Sur ces questions d’actualité, la directrice générale de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) répond aux questions de JA.
Ngozi Okonjo-Iweala, Makhtar Diop, Lazare Eloundou Assomo… Ils sont à la tête de l’Organisation mondiale du commerce, de la Société financière internationale et du Centre du patrimoine mondial de l’Unesco. Des places à la hauteur des enjeux du continent.
OMC, IFC, OMS… Les Africains à la tête des plus grandes institutions internationales ont plaidé pour une plus grande solidarité dans la distribution mondiale des vaccins, lors des réunions de printemps 2021 de la Banque mondiale et du FMI.
À son CV impressionnant et à sa puissance de travail peu commune, la Dame de fer nigériane devra ajouter patience et art du compromis pour réformer en profondeur une institution clé en perte de vitesse. Elle entre en fonction le 1er mars 2021.
Alors que les féministes et africanistes se réjouissent de la nomination de Ngozi Okonjo-Iweala à la tête de l’Organisation mondiale du commerce, la qualification de « grand-mère », par un journal suisse, de l’ancienne ministre nigériane a suscité l’indignation.
Le refus de Washington d’adouber la candidate nigériane repousse au 9 novembre – soit après l’élection présidentielle américaine – sa très probable accession à la tête de l’OMC.
Si la Nigériane peut compter depuis la première heure sur l’appui de son président, Muhammadu Buhari, pour décrocher la direction de l’Organisation mondiale du commerce, elle a dû attendre le 15 octobre pour avoir la bénédiction de l’Union africaine.
L’ex-ministre des Finances nigériane fait partie des deux finalistes, avec la Sud-Coréenne Yoo Myung-hee, en lice pour prendre la direction de l’Organisation mondiale du commerce. En revanche, fin de partie pour l’autre candidate africaine, la Kényane Amina Mohamed.
L’élection à la tête de l’organisation, paralysée depuis décembre 2019 par les différends commerciaux entre la Chine et les États-Unis, n’a jamais suscité autant d’intérêt.
Réformer l’OMC, relancer le système de règlement des litiges… La ministre kényane détaille les chantiers qui l’attendent si elle est élue à la tête de l’organisation.
Différend entre la Chine et les États-unis, subventions à la pêche, réforme du système de règlement des litiges… La candidate nigériane est convaincue d’être la mieux placée pour s’atteler aux défis qui attendent le nouveau patron de l’OMC.