Ses affaires ? Une réussite. Sa mission au sein du gouvernement ? Quasi accomplie. Reste un défi pour la première fortune du royaume : faire gagner son parti politique en 2021.
Si, dans le royaume chérifien, les élus du peuple sont plutôt bien lotis, il n’en va pas de même en Tunisie et en Algérie, où les parlementaires se plaignent de conditions de travail qui ne leur permettraient pas d’exercer leur fonction de manière optimale. Enquête.
Depuis cinq jours, les habitants manifestent dans les rues, suite à la mort de deux mineurs. Un drame qui n’a fait que révéler la grogne qui couvait dans cette région pauvre et en retard sur le développement. Récit des événements.
En présidant une réunion du bureau politique du PAM, le 30 octobre, le secrétaire général démissionnaire a signé son retour effectif à la tête du parti. Une volte-face qui nourrit un peu plus les dissensions internes.
Répercussion d’un mauvais bilan ? du discours du Trône ? de la crise du Rif ? Face aux rumeurs entourant sa démission de la direction du PAM, le président de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima s’explique.
C’est un homme bien plus discret que le désormais ex-secrétaire général Ilyas El Omari, qui a été choisi pour assurer l’intérim à la tête d’un des partis les plus puissants du Maroc.
Le Rifain Hakim Benchamach est le président de la Chambre des conseillers et le président du conseil national du Parti authenticité et modernité (PAM). Il a répondu à nos questions sur l’opposition.
Développement de la capitale économique, contestation dans le Rif, composition du gouvernement, avenir du PAM… Tour d’horizon de l’actualité avec Mustapha Bakkoury, le président de la région Casablanca-Settat au Maroc.
Le président de la région actuellement la plus agitée du Maroc évoque tour à tour le chômage des jeunes, le cannabis et la contrebande. Sans langue de bois.
Complètement à l’écart des (laborieuses) tractations devant déboucher sur la formation d’un nouveau gouvernement, le Parti Authenticité et Modernité (PAM) entend peser dans l’opposition… et fourbit ses armes.
La famine, qui sévit déjà dans plusieurs régions du Soudan du Sud, pourrait concerner la moitié de la population d’ici quelques mois, selon les autorités du pays. Les organisations onusiennes dénoncent une tragédie “causée par l’homme”.
Pour se forger une image de parti citoyen, le parti d’Ilyas El Omari a décidé de restituer à l’État les indemnités perçues par ses parlementaires durant la période où ils étaient au chômage. Il veut contrecarrer les islamistes sur le terrain de la moralisation de la vie politique.
Les dernières élections législatives ont consacré l’entrée du royaume marocain dans l’ère de la bipolarisation, au détriment de la totalité des partis traditionnels, réduits désormais au rang de simples forces d’appoint pour le PJD et le PAM.
Elle a 21 ans, elle est élue sous la bannière du PAM et surtout, elle est la fille d’un influent parlementaire de la ville de Ouezzane. Mais ses débuts en politique ne sont pas sans fracas.
Abdelali Hamidine, 45 ans, vice-président du conseil national du PJD, qui compte 107 députés. Objectif : plus de 115 sièges, « arriver premier » et diriger à nouveau le gouvernement.
Ilyas El Omari est Secrétaire général du Parti Authenticité et Modernité (PAM) et président de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceïma, il compte 48 députés. Objectif : « Dépasser la barre des 100 », battre le PJD et diriger le prochain gouvernement
Ce vendredi 7 octobre, les Marocains élisent le parti qui dirigera le prochain gouvernement pour une durée de cinq ans. Entre les deux favoris, les islamistes du PJD et les libéraux du PAM, la lutte est féroce.
Les hostilités ont déjà démarré entre les deux partis favoris des législatives du 7 octobre, sur fond d’accusations. Un tour de chauffe avant des duels au sommet dans les « circonscriptions de la mort ».
Pas seulement un problème de santé publique, la malnutrition est un frein colossal à l’activité économique : telles sont les conclusions d’une étude menée au Ghana, où le coût de la faim s’élèverait à 2,6 milliards de dollars chaque année.
Des 4 500 tonnes de nourriture destinée à nourrir durant un mois plus de 220 000 Sud-soudanais en détresse alimentaire, il ne reste plus rien. Pas même le hangar du Programme alimentaire mondial (PAM) de Juba, où elle était stockée.
L’odeur des corps en décomposition imprègne les couloirs de l’hôpital central de Juba, la capitale du Soudan du Sud, où les victimes des récents combats sont peu à peu enterrées dans des fosses communes.
Sylvie Grekoudou, 37 ans, vend des beignets dans le camp des déplacés de l’aéroport de Bangui. Elle a fui les violences de décembre 2013 à Bangui pour se retrouver dans ce camp avec ses sept enfants. Sans soutien, elle a lancé son commerce pour « joindre les deux bouts ». Pour ce nouveau volet de la série sur l’argent des Africains, elle nous dit tout sur ses dépenses mensuelles et ses projets pour le futur.
Des chercheurs se sont penchés sur trois camps de réfugiés au Rwanda pour déterminer leur impact sur l’économie locale. Il ressort de leur rapport, publié fin juin par le Programme Alimentaire Mondial (PAM), que les occupants de ces camps peuvent être bénéfiques aux pays qui les accueillent.
Nouvelle secrétaire générale de la Fédération internationale de football (Fifa), la Sénégalaise Fatma Samoura veut « aider le football à retrouver son image, écornée par les scandales », a-t-elle expliqué samedi, dans un entretien téléphonique depuis Abuja, au Nigeria.
L’ONU s’est inquiétée lundi de la situation alimentaire au Zimbabwe, touché par une grave sécheresse. Selon l’organisation, le pays a besoin de 290 millions de dollars pour nourrir jusqu’à 4,5 millions de personnes d’ici les prochaines récoltes.
Le président du Malawi a déclaré l’état de catastrophe naturelle dans le pays et a demandé l’aide de la communauté internationale pour lutter contre l’une des sécheresses les plus violentes de ces dernières décennies. Le Mozambique voisin a annoncé être en alerte rouge.
Selon le PAM et le HCR, une aide d’urgence de 2,5 millions de dollars est nécessaire afin de venir rapidement en aide aux réfugiés maliens installés au Burkina Faso.