Le banquier ivoiro-français Tidjane Thiam et le maire de la commune abidjanaise de Cocody, Jean-Marc Yacé, s’affronteront pour prendre la présidence du parti.
Avec la suspension par la justice du congrès qui devait élire son nouveau président le 16 décembre, le parti d’Henri Konan Bédié bascule dans une période incertaine.
Deux militants du Parti démocratique de Côte d’Ivoire demandaient la suspension du congrès devant désigner son nouveau président, prévu ce 16 décembre à Abidjan.
Ce samedi, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire tient à Abidjan son huitième congrès extraordinaire qui devrait propulser vers la présidentielle le successeur de l’ancien chef d’État.
Le secrétaire exécutif du PDCI et le patron du FPI faisaient l’objet d’enquêtes pour « complot contre l’autorité de l’État », « mouvement insurrectionnel », « assassinat » et « actes de terrorisme » lors de la présidentielle de 2020.
Plusieurs candidats se sont retirés de la course à la présidence du parti démocratique de Côte d’Ivoire, avec en toile de fond la présidentielle de 2025.
Après les locales du 2 septembre, l’ancien parti unique est en net recul à travers la Côte d’Ivoire par rapport aux scrutins de 2018. Mais ses maires abidjanais, eux, ont réussi à conserver leurs sièges malgré l’hégémonie du RHDP.
Après leur annulation, le 2 septembre, pour cause d’irrégularités, quelques élections municipales – et une régionale – ont été rejouées, ce 2 décembre. Parmi elles, celle du fief de Guillaume Soro, où l’un des proches de l’ex-président de l’Assemblée nationale, le maire sortant Kaweli Ouattara, revendique la victoire.
L’ex-bras droit de l’ancien chef de l’État est l’un des cinq candidats à sa succession à la présidence du PDCI. Avec une promesse : s’il est élu, il se consacrera uniquement au parti et ne se présentera pas à la présidentielle de 2025.
L’ex-banquier franco-ivoirien au parcours prestigieux, qui vit à l’étranger depuis une vingtaine d’années, brigue la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) avec, dans son viseur, la présidentielle de 2025.
L’ancien maire du Plateau brigue la succession d’Henri Konan Bédié à la tête du plus vieux parti du pays. En misant sur une image de réformateur capable de rassembler tous ses courants.
Réélu maire de la commune abidjanaise de Koumassi, le secrétaire exécutif du RHDP dresse un bilan positif des élections locales organisées en septembre. Du 17 au 19 novembre, les dirigeants du parti au pouvoir se réunissent à Abidjan pour en tirer les leçons et faire des recommandations en vue de la présidentielle de 2025.
Noël Akossi Bendjo, Maurice Kakou Guikahué, Tidjane Thiam, Jean-Marc Yacé… Plusieurs candidats brigueront la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire lors du congrès électif qui se tiendra le 16 décembre à Abidjan.
Nommé haut-représentant du chef de l’État ivoirien, le président du directoire du RHDP revient sur la large victoire de son camp aux élections locales puis sénatoriales, sur la mise à l’écart de Patrick Achi et sur les prochaines échéances électorales.
Devenu Premier ministre le 16 octobre, il remplace Patrick Achi à la tête du gouvernement ivoirien. Sa nomination par Alassane Ouattara a surpris à Abidjan.
Écarté de la nouvelle équipe, Kouadio Konan Bertin confie quitter son ministère sans regret. Il dit rester « à la disposition » d’Alassane Ouattara et rappelle son attachement au PDCI, son ex-parti.
Depuis quelques années, le débat sur le nombre de mandats effectués par les chefs d’État agite l’opinion publique africaine. Et nombreux sont ceux qui établissent une corrélation entre la limitation de la durée au pouvoir et la gouvernance idéale. À tort, selon Rachid Ndiaye.
Qui remplacera Henri Konan Bédié à la tête du Parti démocratique de Côte d’Ivoire ? Après la mort du « Sphinx », l’ancien parti unique doit se trouver un nouveau chef, et un futur candidat à la présidentielle de 2025.
Chef de file de l’ancien parti unique durant trois décennies, Henri Konan Bédié, disparu le 1er août, laisse derrière lui un parti en perte de vitesse qui doit désormais préparer le futur.
Avec la disparition de celui qui fut son indéboulonnable chef pendant trois décennies, l’ancien parti unique est contraint de se réinventer et de se désigner un nouveau patron. En ligne de mire : la prochaine élection présidentielle, dans deux ans.
L’ancien président ivoirien est décédé le 1er août. Sa famille et les cadres de son parti, le PDCI, préparent depuis ses obsèques en pays nambê, dans la plus pure tradition akan.
Le président de l’Assemblée nationale ivoirienne s’est imposé aux municipales dans la commune la plus peuplée d’Abidjan. Une victoire politique majeure, qui consolide sa place dans le camp Ouattara à deux ans de la présidentielle.
Le décès de l’ancien président Henri Konan Bédié, l’avenir du PDCI, les bons scores du RHDP aux élections locales… L’écrivain Venance Konan revient sur la riche actualité politique ivoirienne de ces derniers mois.
Affecté par le décès de son président, début août, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire est en net recul par rapport aux locales de 2018. Mais il demeure le premier parti d’opposition en nombre d’élus.
Si certains candidats peuvent se targuer de coups d’éclat lors des élections municipales et régionales en Côte d’Ivoire, d’autres, en revanche, ont essuyé de sérieux revers et se retrouvent dépossédés de tout ancrage territorial.
Fabrice Sawegnon conteste la réélection de Jacques Ehouo à la tête de la commune stratégique du centre-ville d’Abidjan. Le candidat du RHDP a formulé un recours devant la Commission électorale indépendante (CEI) le 6 septembre.
Considéré comme un test avant la présidentielle de 2025, le double scrutin ivoirien – régional et municipal – du 2 septembre a été marqué par une large victoire du RHDP d’Alassane Ouattara. Décryptage en cartes et en infographies des résultats.