L’ancien président ivoirien est décédé le 1er août. Sa famille et les cadres de son parti, le PDCI, préparent depuis ses obsèques en pays nambê, dans la plus pure tradition akan.
Le président de l’Assemblée nationale ivoirienne s’est imposé aux municipales dans la commune la plus peuplée d’Abidjan. Une victoire politique majeure, qui consolide sa place dans le camp Ouattara à deux ans de la présidentielle.
Le décès de l’ancien président Henri Konan Bédié, l’avenir du PDCI, les bons scores du RHDP aux élections locales… L’écrivain Venance Konan revient sur la riche actualité politique ivoirienne de ces derniers mois.
Affecté par le décès de son président, début août, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire est en net recul par rapport aux locales de 2018. Mais il demeure le premier parti d’opposition en nombre d’élus.
Si certains candidats peuvent se targuer de coups d’éclat lors des élections municipales et régionales en Côte d’Ivoire, d’autres, en revanche, ont essuyé de sérieux revers et se retrouvent dépossédés de tout ancrage territorial.
Fabrice Sawegnon conteste la réélection de Jacques Ehouo à la tête de la commune stratégique du centre-ville d’Abidjan. Le candidat du RHDP a formulé un recours devant la Commission électorale indépendante (CEI) le 6 septembre.
Considéré comme un test avant la présidentielle de 2025, le double scrutin ivoirien – régional et municipal – du 2 septembre a été marqué par une large victoire du RHDP d’Alassane Ouattara. Décryptage en cartes et en infographies des résultats.
Trois jours après la réélection de l’opposant Jean-Marc Yacé pour un nouveau mandat, l’hôtel de ville de la commune huppée d’Abidjan a été investi par des gendarmes. Quelques heures plus tôt, son adversaire du RHDP, Éric Taba, avait dénoncé une « magouille » électorale.
Les premiers résultats des élections municipales et régionales organisées le 2 septembre en Côte d’Ivoire donnent le camp présidentiel largement en tête devant ses principaux rivaux du PDCI et du PPA-CI, au terme d’un scrutin qui s’est déroulé sans incident majeur.
Le président de l’Assemblée nationale a été déclaré vainqueur du scrutin municipal dans la commune la plus peuplée du pays. Ses rivaux du PPA-CI, Michel Gbagbo, et du PDCI, Dia Houphouët Augustin, dénoncent « un hold-up électoral ».
Ce samedi 2 septembre se tiennent les élections municipales et régionales. Un scrutin déterminant pour les trois principaux partis du pays – RHDP, PDCI et PPA-CI – à deux ans de la prochaine présidentielle, en 2025.
À l’occasion des élections municipales et régionales du 2 septembre, le RHDP confirmera-t-il sa domination ? Le PDCI, endeuillé, résistera-t-il ? Quel score obtiendra le PPA-CI de Laurent Gbagbo ? Tour d’horizon des points chauds et des personnalités qui jouent gros dans ces scrutins.
Alors que la campagne se terminait ce 31 août en Côte d’Ivoire, les principaux candidats à la mairie de la commune la plus peuplée d’Abidjan ont tenté, une ultime fois, de convaincre les électeurs.
L’ancienne capitale ivoirienne, qui a subi récemment d’importantes érosions côtières et des inondations, sera le théâtre d’un duel entre le maire sortant, Jean-Louis Moulot, candidat de la formation présidentielle, et Linda Diplo, candidate du parti de feu Henri Konan Bédié, qui bénéficiera de l’appui du PPA-CI de Laurent Gbagbo.
Après la mort de l’ancien président ivoirien, qui a dirigé le PDCI d’une main de fer pendant près de trente ans, l’heure est à l’union. La bataille pour la succession sera pourtant inévitable.
Seydou Soro a été investi par le Parti des peuples africains-Côte d’Ivoire (PPA-CI). Aux élections locales du 2 septembre, il affrontera dans les urnes Fidèle Sarassoro, directeur de cabinet d’Alassane Ouattara.
Responsables du PDCI, chefs traditionnels baoulés, haut représentants de l’État… Plusieurs acteurs sont impliqués dans l’organisation des obsèques de l’ancien président, pour lesquelles aucune date n’a encore été fixée.
Le président de l’Assemblée nationale ivoirienne a organisé son premier meeting de campagne ce 26 août, à une semaine des élections locales. Saura-t-il tenir en échec ses concurrents, Michel Gbagbo et Dia Houphouët, pour conserver la commune dans l’escarcelle du RHDP ?
Alphonse Kwassi Cowppli-Boni n’est pas destiné à assurer plus qu’un intérim à la tête du parti de feu Henri Konan Bédié. Mais entre les élections locales, les obsèques du « Sphinx » et l’organisation du prochain congrès, les mois à venir s’annoncent compliqués.
Fils d’une famille historique du parti de feu Henri Konan Bédié, le maire sortant tentera de conserver cette commune abidjanaise lors d’un scrutin qui s’annonce très disputé, le 2 septembre.
Ébranlé par la mort de son président survenue le 1er août, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire ne compte pas pour autant passer à côté des élections du 2 septembre.
Ce 2 septembre, à l’occasion des élections municipales en Côte d’Ivoire, la commune du Plateau, dans le district d’Abidjan, sera l’objet de toutes les attentions.
Le général à la retraite, vice-président du Parti Démocratique de Côte d’ivoire (PDCI) et proche de l’ancien président Henri Konan Bédié, est décédé le mardi 8 août à Abidjan.
Sur fond de rivalités entre le RHDP d’Alassane Ouattara et le PDCI de feu Henri Konan Bédié, les héritiers de la reine des Baoulés, Nanan Akoua Boni II, se disputent pour prendre sa suite. Et la querelle, familiale et politique, est loin d’être réglée.
L’ancien chef de l’État et président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) laisse une empreinte indélébile dans son fief. Peu après son décès, les habitants s’y souviennent, émus, d’un leader d’exception et, surtout, d’un homme généreux, amateur de cigares et d’igname braisé. Reportage.
Les cadres du Parti démocratique de Côte d’Ivoire ont désigné Cowppli-Bonny Kwassi Alphonse comme président par intérim. Un choix pour maintenir la cohésion, avant que ne s’ouvre l’inévitable bataille de succession.
L’ancien chef de l’État et président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) est décédé ce mardi 1er août, a appris Jeune Afrique de sources proches de la famille. Il avait 89 ans.