PJD

Le PJD (Parti de la justice et du développement), est un parti politique marocain créé dans les années 1960. Ce parti islamique remporte de plus en plus d’élections ces dernières années, la dernière en date étant l’élection législative de 2011 où il obtient 107 sièges sur les 395 constituant la chambre basse marocaine. En novembre 2011, son secrétaire général Abdelilah Benkirane est nommé chef du gouvernement par le roi Mohammed VI.

la suite après cette publicité
La Chambre des représentants du Maroc (image d’illustration). © DR

Libertés sexuelles : les politiques marocains sommés de prendre position

Le chef du gouvernement marocain, Saadeddine El Othmani, à la Chambre des représentants, en avril 2020. © Hassan Baayou/MAP

Maroc : les islamistes du PJD face à l’usure du pouvoir

Séance des questions orales consacrée à la crise du coronavirus, à la Chambre des représentants, à Rabat, en avril 2020 (illustration). © Baayou/MAP

Maroc : faut-il imposer la fortune ?

la suite après cette publicité
Le chef du gouvernement Saadeddine El Othmani (au centre), aux côtés de Mustapha Ramid (à gauche), ministre PJD. © Abdeljalil Bounhar/AP/SIPA

Affaires Ramid et Amekraz : vers un « PJD Gate »?

Driss Azami El idrissi, député-maire PJD de la ville de Fès, au Maroc. © DR

Maroc : Driss El Azami El Idrissi, le nouveau joker du PJD

Des Marocains se sont mobilisés pour soutenir Hajar Raïssouni, lundi 9 septembre 2019 à Rabat (image d’illustration). © Mosa’ab Elshamy/AP/SIPA

Maroc : l’année 2019 se referme sur des débats en suspens

Saâdeddine El Othmani (secrétaire général du PJD) et Hakim Benchamach (secrétaire général du PAM). © Montage JA

Maroc : les dessous du rapprochement entre le PJD et le PAM

« Libérez Hajar », est-il écrit sur ce t-shirt arboré par un journaliste lors d’une manifestation de soutien à sa consoeur Hajar Raïssouni, emprisonné depuis fin août au Maroc pour avortement illégal. © Mosa’ab Elshamy/AP/SIPA

[Tribune] Maroc : Hajar, Amina et nous

Lahcen Daoudi, ministre des Affaires générales et de la gouvernance dans le gouvernement dirigé par Saadeddine El Othmani. © Alexandre Dupeyron pour JA

Maroc – Lahcen Daoudi : « Nous manquons encore d’outils de contrôle pour bâtir un système fiscal plus juste »

Le chef du gouvernement marocain, Saadeddine El Othmani, avec son prédécesseur, le secrétaire général du Parti justice et développement (PJD), Abdelilah Benkirane, lors d’un meeting électoral le 25 septembre 2016 à Rabat. © Abdeljalil Bounhar/AP/SIPA

[Tribune] Maroc : oui, le bilan du PJD est honorable !

Des militantes du PJD, en octobre 2016 près de Rabat. © Abdeljalil Bounhar/AP/SIPA

[Édito] Le PJD est-il soluble dans la démocratie ?