Le PJD (Parti de la justice et du développement), est un parti politique marocain créé dans les années 1960. Ce parti islamique remporte de plus en plus d’élections ces dernières années, la dernière en date étant l’élection législative de 2011 où il obtient 107 sièges sur les 395 constituant la chambre basse marocaine. En novembre 2011, son secrétaire général Abdelilah Benkirane est nommé chef du gouvernement par le roi Mohammed VI.
Le parti islamiste du Premier ministre Abdelilah Benkirane a tiré son épingle du jeu vendredi lors des élections locales au Maroc et se place en position de force à un an des prochaines législatives.
Le 4 septembre, PAM et PJD vont s’affronter sur le ring des communales et des régionales. L’heure de vérité pour les deux grandes formations politiques ?
Saadeddine El Othmani, le numéro deux du Parti de la justice et du développement (PJD, islamiste), a assuré lundi dans une tribune être « pour la légalisation de l’avortement dans certains cas au Maroc ». Une position courageuse dans un pays où il y aurait entre 600 et 800 avortements clandestins par jour.
Le ministre d’État Abdellah Baha est mort dimanche soir dans un accident ferroviaire à Bouznika. Cadre influent du PJD, il était aussi un des plus proches collaborateurs du chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane.
Le Premier ministre Abdelilah Benkirane, chef de file des islamistes du PJD, passe un grand oral de mi-mandat ce mardi soir devant le Parlement. Il y défendra son bilan en vue des législatives de 2016.
Il était leur adversaire, le voici leur allié. Le patron du Rassemblement national des indépendants (RNI), Salaheddine Mezouar, tire les islamistes d’un mauvais pas en entrant dans le nouveau gouvernement marocain. À ses conditions.
Désormais lâchés par l’Istiqlal, les islamistes du PJD sont à la recherche d’un nouvel allié gouvernemental. Si la tenue d’élections anticipées n’est pas à écarter, le scénario d’un remaniement reste le plus probable.
À court terme, un remaniement minimum est l’hypothèse la plus plausible pour sortir le Maroc de la crise gouvernementale. Avant un retour devant les électeurs ?
Au pouvoir depuis un an, les islamistes tardent à faire la démonstration de leur capacité à diriger le pays. Mais en ont-ils vraiment les moyens et l’expertise ?
L’actuel chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane, a été facilement réélu (85%) à la tête du Parti de la justice et du développement (PJD). Un résultat logique pour l’homme qui a mené son parti de l’opposition aux ministères.
Ils se disputent depuis trente ans le leadership du mouvement islamiste au Maroc. Aujourd’hui, le PJD et Al Adl Wal Ihsane s’affrontent dans un tout autre contexte.
Le ministre de la Communication marocain a dévoilé le contenu des nouveaux cahiers des charges pour les deux principales chaînes publiques du Maroc. Au menu : arrêt des publicités pour les jeux de hasard, notamment les paris sportifs, et arabisation des programmes.
Exclu du jeu politique marocain, mais fer de lance du Mouvement du 20 février, avant de s’en dégager le 18 décembre, Al Adl Wal Ihsane voulait incarner l’opposition de la rue face au futur gouvernement dirigé par les islamistes légalistes.
Dans son n°2656 en kiosques du 4 au 10 décembre, Jeune Afrique consacre un dossier de six pages à la victoire des islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD) aux élections législatives du 25 novembre dernier. Petit aperçu.
Abdelilah Benkirane, le leader du parti islamiste, rencontre le roi Mohammed VI ce mardi 29 novembre à Midelt. Le roi du Maroc pourrait le nommer Premier ministre.
En remportant plus du quart des sièges de députés lors des législatives anticipées du 25 novembre, les islamistes marocains du PJD accèdent pour la première fois au pouvoir. Mais pour gouverner, leur secrétaire général Abdelilah Benkirane doit obligatoirement trouver un compromis avec d’autres partis, notamment l’Istiqlal et l’USFP. Est-il l’homme de la situation ?
Les islamistes modérés étaient en voie samedi de remporter les législatives au Maroc pour la première fois de l’histoire du royaume chérifien et se sont dits prêts à former un gouvernement de coalition.
Les islamistes du Parti justice et développement (PJD) sont en tête des législatives de vendredi avec 80 sièges, selon des résultats partiels annoncés samedi par le ministre marocain de l’Intérieur Taib Cherkaoui.
Quels sont les scénarios possibles pendant et après les élections législatives du 25 novembre au Maroc ? Le système et la classe politique changent-ils ou peuvent-ils faire semblant ? Le politologue marocain Mohamed Tozy nous livre son analyse.
Même si les contextes marocain et tunisien sont dissemblables, l’ouverture de la campagne pour les élections législatives anticipées du 25 novembre dans le royaume chérifien suscite l’inquiétude d’une partie de la classe politique. Et du côté du PJD, on se prend à rêver d’une victoire à la Ennahdha…
Les islamistes marocains du Parti de la justice et du développement (PJD) font partie des favoris des élections législatives qui auront lieu le 25 novembre 2011. Le parallèle avec la situation tunisienne et la victoire d’Ennhada est tentant, mais il a ses limites.
À un mois des élections législatives, l’hypothèse d’une victoire du Parti de la justice et du développement (PJD) cristallise l’attention de toute la classe politique du Maroc. Et suscite l’inquiétude.
À un peu plus d’un mois des élections législatives marocaines, Jeune Afrique est allé à la rencontre des différents acteurs de la vie politique du royaume afin de comprendre les craintes que suscite la montée en puissance du Parti islamiste de la justice et du développement (PJD). Une enquête à lire dans le J.A. n°2649 en kiosques du 17 au 24 octobre 2011.
Mis en orbite par le congrès d’avril 2004, les quadras du Parti de la justice et du développement entendent aujourd’hui accroître leur influence au sein des instances dirigeantes du mouvement islamiste.
Avec Abdelilah Benkirane, le Parti de la justice et du développement s’est donné un nouveau chef. Un coup de théâtre… et un coup de pied de l’âne, à l’heure où les leaders des autres partis politiques ont bien du mal à passer la main.