Une modification du code pénal, dans le cadre d’un vaste projet de loi relatif à la lutte contre le terrorisme et le blanchiment de capitaux, fait craindre au PPA-CI et au PDCI « un musèlement subtil de l’opposition » à un peu plus d’un an de la présidentielle.
Les partisans de l’ancien président ivoirien réclament toujours avec insistance la levée de son inéligibilité, afin qu’il puisse concourir à la présidentielle de 2025. Mais le camp de la majorité leur renvoie la balle. Explications.
À un an de la présidentielle de 2025, un élan de solidarité s’est emparé de la classe politique ivoirienne, le temps des adieux à Henri Konan Bédié. Une trêve qui devrait être de courte durée.
Ce 10 mai, l’ancien président a été investi candidat du PPA-CI au scrutin de 2025. Sauf qu’il demeure inéligible, ayant été radié des listes électorales à la suite d’une condamnation par la justice ivoirienne.
L’ancien chef de l’État ivoirien, candidat hypothétique à la présidentielle de 2025, pourra-t-il réellement influer sur le scrutin s’il se présente ? L’analyse de Florence Richard.
Trois ans après son retour en Côte d’Ivoire, l’ancien chef de l’État, qui souhaite concourir à la présidentielle de 2025 malgré son inéligibilité, peine à imposer le PPA-CI dans le paysage politique.
L’ex-président ivoirien et opposant Laurent Gbagbo a accepté samedi 9 mars d’être candidat à l’élection présidentielle de 2025, selon son parti. Il est pourtant inéligible.
En Côte d’Ivoire, l’élection pour la présidence de la Ligue des femmes du PPA-CI a déclenché une véritable crise au sein d’un parti qui peine à se remettre des mauvais résultats engrangés aux dernières élections locales.
Après son faible score aux locales de septembre 2023 en Côte d’Ivoire, l’ancien président mise sur ce vieux compagnon de route pour implanter son parti à travers le pays.
Après les locales du 2 septembre, l’ancien parti unique est en net recul à travers la Côte d’Ivoire par rapport aux scrutins de 2018. Mais ses maires abidjanais, eux, ont réussi à conserver leurs sièges malgré l’hégémonie du RHDP.
Réélu maire de la commune abidjanaise de Koumassi, le secrétaire exécutif du RHDP dresse un bilan positif des élections locales organisées en septembre. Du 17 au 19 novembre, les dirigeants du parti au pouvoir se réunissent à Abidjan pour en tirer les leçons et faire des recommandations en vue de la présidentielle de 2025.
Depuis son retour à Abidjan, en 2021, l’ancien président ivoirien ne parvient pas à imposer son nouveau parti sur la scène politique et laisse toujours planer le doute sur ses intentions.
L’ancien président ivoirien a procédé à une réorganisation de son parti quelques semaines après la débâcle des locales. Hubert Oulaye et Damana Pickass ont été démis de leurs fonctions.
Le président de l’Assemblée nationale ivoirienne s’est imposé aux municipales dans la commune la plus peuplée d’Abidjan. Une victoire politique majeure, qui consolide sa place dans le camp Ouattara à deux ans de la présidentielle.
Le décès de l’ancien président Henri Konan Bédié, l’avenir du PDCI, les bons scores du RHDP aux élections locales… L’écrivain Venance Konan revient sur la riche actualité politique ivoirienne de ces derniers mois.
Si certains candidats peuvent se targuer de coups d’éclat lors des élections municipales et régionales en Côte d’Ivoire, d’autres, en revanche, ont essuyé de sérieux revers et se retrouvent dépossédés de tout ancrage territorial.
Considéré comme un test avant la présidentielle de 2025, le double scrutin ivoirien – régional et municipal – du 2 septembre a été marqué par une large victoire du RHDP d’Alassane Ouattara. Décryptage en cartes et en infographies des résultats.
À l’issue des élections locales du 2 septembre, le parti de l’ancien président, rentré à Abidjan en 2021, n’a pas réalisé le retour triomphal tant espéré par ses militants.
Les premiers résultats des élections municipales et régionales organisées le 2 septembre en Côte d’Ivoire donnent le camp présidentiel largement en tête devant ses principaux rivaux du PDCI et du PPA-CI, au terme d’un scrutin qui s’est déroulé sans incident majeur.
Le président de l’Assemblée nationale a été déclaré vainqueur du scrutin municipal dans la commune la plus peuplée du pays. Ses rivaux du PPA-CI, Michel Gbagbo, et du PDCI, Dia Houphouët Augustin, dénoncent « un hold-up électoral ».
Ce samedi 2 septembre se tiennent les élections municipales et régionales. Un scrutin déterminant pour les trois principaux partis du pays – RHDP, PDCI et PPA-CI – à deux ans de la prochaine présidentielle, en 2025.
À l’occasion des élections municipales et régionales du 2 septembre, le RHDP confirmera-t-il sa domination ? Le PDCI, endeuillé, résistera-t-il ? Quel score obtiendra le PPA-CI de Laurent Gbagbo ? Tour d’horizon des points chauds et des personnalités qui jouent gros dans ces scrutins.
Alors que la campagne se terminait ce 31 août en Côte d’Ivoire, les principaux candidats à la mairie de la commune la plus peuplée d’Abidjan ont tenté, une ultime fois, de convaincre les électeurs.
Seydou Soro a été investi par le Parti des peuples africains-Côte d’Ivoire (PPA-CI). Aux élections locales du 2 septembre, il affrontera dans les urnes Fidèle Sarassoro, directeur de cabinet d’Alassane Ouattara.
Dans cette interview qu’il a accordée à Jeune Afrique, le porte-parole du PPA-CI de Laurent Gbagbo revient sur l’exclusion de son mentor des listes électorales, la transparence des municipales et des régionales du 2 septembre, et les alliances de son parti avec le PDCI.
La grande commune populaire d’Abidjan, 1,5 million d’habitants, attise toutes les convoitises politiques. Lors des municipales du 2 septembre, Adama Bictogo, le président de l’Assemblée nationale, y défiera Michel Gbagbo, le fils de l’ancien président.
Après leur entente dans le Haut-Sassandra, le PPA-CI et le PDCI des deux anciens présidents se sont alliés dans la riche région de l’ouest ivoirien pour les élections locales du 2 septembre. Mais le candidat du RHDP semble favori.