Seydou Soro a été investi par le Parti des peuples africains-Côte d’Ivoire (PPA-CI). Aux élections locales du 2 septembre, il affrontera dans les urnes Fidèle Sarassoro, directeur de cabinet d’Alassane Ouattara.
Dans cette interview qu’il a accordée à Jeune Afrique, le porte-parole du PPA-CI de Laurent Gbagbo revient sur l’exclusion de son mentor des listes électorales, la transparence des municipales et des régionales du 2 septembre, et les alliances de son parti avec le PDCI.
La grande commune populaire d’Abidjan, 1,5 million d’habitants, attise toutes les convoitises politiques. Lors des municipales du 2 septembre, Adama Bictogo, le président de l’Assemblée nationale, y défiera Michel Gbagbo, le fils de l’ancien président.
Après leur entente dans le Haut-Sassandra, le PPA-CI et le PDCI des deux anciens présidents se sont alliés dans la riche région de l’ouest ivoirien pour les élections locales du 2 septembre. Mais le candidat du RHDP semble favori.
Le PDCI et le PPA-CI présenteront des candidatures communes aux élections municipales et aux régionales prévues le 2 septembre, mais s’affronteront dans certaines zones. Une situation susceptible de créer des frustrations dans le camp de Laurent Gbagbo.
La Commission électorale indépendante a annoncé mercredi avoir « exceptionnellement » repoussé au 23 juillet la date limite de dépôt des candidatures pour les élections municipales et régionales du 2 septembre.
Le vice-président du PPA-CI, Stéphane Kipré, a rejoint la liste du président sortant du conseil régional du Haut-Sassandra et candidat du PDCI, Alphonse Djédjé Mady, pour les locales du 2 septembre. Pour les autres communes et régions, les discussions entre les deux partis se poursuivent.
En Côte d’Ivoire, en dépit d’une loi censée leur favoriser l’accès aux assemblées élues depuis 2019, les femmes sont encore trop souvent absentes des listes de candidats pour les scrutins municipaux et régionaux du 2 septembre.
L’ancien président ivoirien avait déposé un recours auprès de la CEI pour obtenir sa réintégration dans le fichier électoral. Mais selon son parti, il n’a pas obtenu gain de cause.
Le ministre ivoirien de la Promotion de la jeunesse, porte-parole adjoint du parti présidentiel et du gouvernement, explique comment se concrétise le « plan Marshall » pour la jeunesse annoncé par Alassane Ouattara. Et décrypte les enjeux des scrutins locaux du 2 septembre prochain.
Issus de grandes familles dont les noms sont connus de tous, ils tentent désormais de se faire un prénom. Bien souvent en embrassant à leur tour une carrière politique.
Le PDCI et le PPA-CI veulent s’allier pour les élections municipales et régionales du 2 septembre. Mais des blocages persistent dans certaines zones et pourraient compromettre leur projet d’union face au RHDP d’Alassane Ouattara.
En Côte d’Ivoire, le ministre de la Promotion de la jeunesse et le vice-président exécutif du PPA-CI s’affronteront dans les urnes, le 2 septembre, pour la présidence du conseil régional. Un match décisif pour l’avenir politique de ces deux ambitieux, respectivement fidèles à Alassane Ouattara et à Laurent Gbagbo.
Les deux partis ont conclu un accord en vue des élections locales du 2 septembre. Depuis, plusieurs candidats du FPI se sont désistés en faveur de celui désigné par la majorité présidentielle.
À deux ans de la présidentielle, les scrutins régionaux et municipaux du 2 septembre promettent de beaux duels. Des affiches qui ne doivent pas faire oublier l’essentiel : la participation des citoyens au jeu démocratique.
L’ancien président ivoirien a déposé un recours ce 8 juin pour obtenir sa réinscription sur les listes électorales avant les locales, prévues le 2 septembre prochain.
À quelques mois des élections municipales et régionales, les partis politiques – celui de Laurent Gbagbo en tête – remettent en question la fiabilité du fichier électoral et l’impartialité de la CEI.
Le président exécutif du PPA-CI tentera de prendre la tête du conseil régional du Cavally, dans l’ouest du pays, dirigé par la ministre de la Fonction publique depuis 2018.
Le fondateur du groupe Snedai et président de l’Assemblée nationale ivoirienne revient sur l’actualité économique de la Côte d’Ivoire et de la sous-région, n’élude pas la question des élections locales et l’échéance de 2025, tout en évoquant le Sénégal et le Burkina Faso…
En Côte d’Ivoire, l’opposition dénonce la présence de personnes décédées, mineures ou déchues de leurs droits civiques sur les listes de la commission électorale, alors que Laurent Gbagbo vient d’en être radié.
Derniers scrutins avant la course à la magistrature suprême de 2025, les élections régionales et municipales du 2 septembre prochain représentent un test majeur pour les partis politiques. Et pour tous les Ivoiriens.
Adama Bictogo contre Michel Gbagbo à Yopougon, match retour entre Jacques Ehouo et Fabrice Sawegnon au Plateau, duel fratricide au PDCI à Cocody… Zoom sur les principaux matchs des élections locales du 2 septembre dans le district d’Abidjan.
En Côte d’Ivoire, l’ancien président reste radié de la liste électorale pour les prochaines locales, prévues en septembre. Une décision qui provoque l’ire de ses partisans et l’incompréhension des autres opposants.
Comme avant chaque scrutin, les grands partis tentent de contrer les candidatures indépendantes, bien souvent issues de leurs propres rangs. À moins de quatre mois des élections locales, les tractations vont bon train.
Le président ivoirien a désigné son conseiller technique au parcours atypique, Lassina Ouattara, pour porter les couleurs du RHDP aux municipales dans la grande ville nordiste, berceau de la famille Gon Coulibaly.
Les deux anciens présidents discutent de candidatures communes pour les élections régionales et municipales du 2 septembre. Une commission paritaire, composée de vingt-quatre membres du PDCI et du PPA-CI, est chargée d’arbitrer.
Le parti de l’ancien président ivoirien a annoncé la création d’un organe de lutte contre la fraude électorale, quatre mois avant les élections locales et à deux ans de la présidentielle.
Depuis plus de deux ans, la localisation et les mouvements de l’ancien président de l’Assemblée nationale sont l’objet de toutes les attentions au sein des services de renseignement ivoiriens. Mais Soro demeure introuvable.
Plus les mois passent, plus l’étau se resserre autour de Guillaume Soro, lequel bénéficie néanmoins du soutien des autorités maliennes. Et cherche, selon les informations de JA, à obtenir celui de la Russie.