Le Rassemblement des Républicains est un parti ivoirien libéral, fondé en 1994 par Georges Djéni Kobina. Présidé par Alassane Ouattara depuis 1999, il fait partie des trois principaux partis du pays.
Figure politique respectée, historienne, ancienne ministre, Henriette Diabaté, bientôt 90 ans, a été de toutes les luttes aux côtés du président Ouattara. Portrait.
Nommé haut-représentant du chef de l’État ivoirien, le président du directoire du RHDP revient sur la large victoire de son camp aux élections locales puis sénatoriales, sur la mise à l’écart de Patrick Achi et sur les prochaines échéances électorales.
Le président de l’Assemblée nationale ivoirienne s’est imposé aux municipales dans la commune la plus peuplée d’Abidjan. Une victoire politique majeure, qui consolide sa place dans le camp Ouattara à deux ans de la présidentielle.
Le président ivoirien a choisi Éric Taba pour être le candidat du RHDP aux élections municipales du 2 septembre à Cocody. Il tentera d’y reprendre la mairie à un poids lourd du PDCI, Jean-Marc Yacé.
Avec sa candidature à la mairie d’une commune réputée favorable au camp de Laurent Gbagbo, Adama Bictogo joue gros. Une défaite serait un revers. Une victoire, un coup d’éclat.
Alassane Ouattara a une confiance absolue en son fidèle Premier ministre Amadou Gon Coulibaly et le verrait bien lui succéder. Mais ce dernier réussira-t-il à s’imposer ?
À moins de deux ans de la présidentielle ivoirienne, les manœuvres vont bon train au sein des trois principales familles politiques. Qui doivent s’organiser au plus vite et désigner leur champion.
Dans l’histoire ivoirienne, rarement l’incertitude aura été aussi grande à moins de deux ans de l’élection présidentielle. Aucun des trois grands partis ne s’est choisi de candidat. Pis, au sein de ces formations, aucun homme ni aucune femme ne semble à même d’incarner plus qu’un autre l’avenir de son pays. Un suspense finement orchestré ?
À moins de deux ans de l’élection présidentielle, les deux hommes ont affiché leur bonne entente et leur proximité lors de leur rencontre à Daoukro, du 17 décembre. Ils laissent planer le doute sur une possible alliance pour 2020.
Le parti d’Alassane Ouattara y a recueilli 100% des suffrages lors des élections municipales du 13 octobre. À Kong, capitale d’un empire aujourd’hui disparu, la famille du président règne en maître. Et gare à ceux qui voudraient sortir du rang.
On l’appelle Photocopie pour sa ressemblance avec le président ivoirien. Petit frère d’Alassane Ouattara, ministre et fidèle parmi les fidèles, Téné Birahima Ouattara vient de s’emparer du Conseil régional du Tchologo, l’un des bastions de la famille, lors des élections du 13 octobre.
Les résultats des élections locales du 13 octobre établiront l’influence réelle des différentes forces politiques, à deux ans d’une présidentielle décisive.
Sociologue et analyste politique, Fahiraman Rodrigue Koné, membre de l’African Security Sector Network revient pour Jeune Afrique sur les principaux enjeux des élections locales qui se tiennent en Côte d’Ivoire le 13 octobre.
De la guerre fratricide au sein du PDCI qui se joue à Cocody à Affi N’Guessan qui aura faort à faire à Bongouanou, en passant par le pari risqué d’Hamed Bakayoko à Abobo, tour d’horizon des principaux points chauds qui seront scrutés avec attention lors des élections locales du 13 octobre en Côte d’Ivoire.
Artisan des campagnes électorales victorieuses de nombreux chefs d’État du continent, le communicant Fabrice Sawegnon a décidé de descendre dans l’arène politique en briguant la mairie du Plateau, dans le centre d’Abidjan.
La libération de Simone Gbagbo et le divorce entre le RDR et le PDCI ont rebattu les cartes. Revoici les grands partis et leurs leaders face à face, tous décidés à l’emporter mais incapables de le faire seuls… La présidentielle de 2020 en Côte d’Ivoire s’annonce plus incertaine que jamais.
Si c’était un secret, il était de Polichinelle. Samedi 18 août, dans un palais des sports d’Abidjan chauffé à blanc, l’Union des soroïstes a fait de Guillaume Soro son candidat à la présidentielle. Rien de très surprenant pour ce mouvement créé par des proches de l’ancien rebelle, mais cette nouvelle déclaration a eu le don d’agacer encore un peu plus au RDR.
À quoi ressemblera le paysage politique ivoirien à l’aube de la présidentielle d’octobre 2020 ? En annonçant le 9 août que le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) se retirait du processus de création du parti unifié, Henri Konan Bédié a plongé le pays dans l’incertitude.
Après la rupture du PDCI avec le RDR, le président du parti pro-Gbagbo annonce sa nouvelle alliance avec Henri Konan Bédié et des listes communes lors des prochaines élections locales.
Au lendemain de sa rencontre avec Alassane Ouattara, le président du PDCI annonce sa sortie du projet de parti unifié et met fin à son union avec le parti au pouvoir.
Au lendemain de sa révocation de la mairie du Plateau pour « détournements de fonds publics » et mauvaise gestion, cette figure du PDCI dénonce une « décision politique ».
Figure du PDCI hostile au parti unifié, Noël Akossi-Bendjo est soupçonné de « grave déviation dans sa gestion et faux en écriture publique », a annoncé le porte-parole du gouvernement à l’issue du Conseil des ministres.
Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), un des deux grands partis de la coalition au pouvoir, a menacé dans une conférence de presse dimanche d’aller seul aux élections locales d’octobre. Il a également annoncé l’exclusion des frondeurs favorables au « parti unifié ».
À l’occasion de l’assemblée générale constitutive du parti unifié RHDP, lundi, le président ivoirien, Alassane Ouattara, a évoqué la présidentielle de 2020… suggérant qu’il ne serait pas candidat à sa propre succession.
Réformes économiques, refondation de l’armée, parti unifié, diplomatie… À deux ans de l’élection présidentielle, les sujets de préoccupation ne manquent pas pour le chef de l’État. Qui a accepté de se livrer à JA.
Pilier du parti d’Henri Konan Bédié, Jeannot Ahoussou-Kouadio milite pour une alliance avec celui d’Alassane Ouattara au sein d’une formation unifiée. Mais le président du tout nouveau Sénat sera-t-il entendu ?