Qu’importe leur secteur d’activité, les PME continentales se confrontent toujours autant au manque de financements, de talents et de bonnes pratiques de gouvernance. Mais elles ont d’autres points forts, estime le fondateur du cabinet AfricSearch.
Release – filiale de l’énergéticien norvégien Scatec – va étendre ses centrales solaires de Maroua et de Guider. Objectif : contenir les délestages dans le Nord.
Défaillances des réseaux de distribution et de transport, rôle du secteur privé, place du gaz dans la transition énergétique, crise de l’industrie éolienne, rôle de l’offgrid… Le responsable des infrastructures de la filiale de la Banque mondiale revient pour Jeune Afrique sur les grands enjeux énergétiques du continent.
L’emblématique patronne de l’empire marocain du vin a fait discrètement appel à une importante institution internationale pour assurer la pérennité de son groupe et préparer son introduction en Bourse. Mais ce ne sont pas les seules raisons…
Le directeur général de la Société financière international a entamé, à marche forcée, une réforme en profondeur de l’institution de financement du secteur privé de la Banque mondiale. Avec des résultats.
Le gestionnaire panafricain vient de boucler son cinquième fonds à 470 millions de dollars, un résultat bien au-delà des attentes et singulier dans un contexte de levées morose.
Conscients depuis longtemps de l’intérêt économique et social de développer le secteur, les financiers ne se sont intéressés que très récemment aux entrepreneurs de la culture. Pourquoi ?
Monétisation des actifs au Nigeria, tensions sur les finances publiques africaines, avancées de la Zlecaf, nouveau fonds pour les start-up… Révélations sur les négociations qui ont eu lieu et sur les annonces qui ont été faites en marge du Forum de Davos.
Le président et fondateur du groupe bancaire nigérian, Jim Ovia, estime que le Brexit a fait de la France une place stratégique pour atteindre un marché européen florissant.
Avec un prêt de 100 millions de dollars de l’IFC, Release, filiale de Scatec, va installer de nouvelles centrales solaires hybrides au Cameroun et au Tchad.
L’ambition est de multiplier par trois les fonds alloués à l’Association internationale de développement (IDA) afin de mieux répondre aux besoins croissants des pays les plus démunis, dont la majorité est en Afrique.
Avec ce rachat au Bénin, la start-up togolaise qui évolue dans le secteur de la commande en ligne de transport et de nourriture va faire ses premiers pas dans le mobile money.
Proactif, le PDG de BUA croit ce qu’il voit. Il suit son instinct plutôt que les comportements corporatistes, et fuit toutes les décisions frileuses. Une attitude largement validée par une belle enveloppe accordée par la Société Financière Internationale (IFC).
Alpha Condé a été chassé du pouvoir à la suite d’un coup d’État en 2021. Pourtant, contrairement à celles des autres pays du Sahel, l’économie guinéenne résiste. Explications.
Dotée de 800 millions de dollars, une plateforme commune du bailleur de la Banque mondiale et du géant marocain des phosphates doit encourager l’essor du financement de l’agriculture continentale.
PDG et fondateur du champion sénégalais Patisen depuis plus de quarante ans, l’homme d’affaires passe le relais au holding royal marocain Al Mada. Une nouvelle page pour le groupe dont l’objectif est de s’imposer comme « leader de l’agroalimentaire de Dakar à Djibouti ».
Un partenariat avec la Banque mondiale, un prêt de 100 millions d’euros auprès de sa filiale privée l’IFC… Les Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale qui ont lieu à Marrakech s’avère être un terrain fertile pour OCP, le géant marocain des phosphates.
Le directeur général de la Société financière internationale aborde les réformes passées et en cours au sein de la filiale de la Banque mondiale. Il détaille également les investissements records réalisés par l’institution cette année.
Le vice-président de l’institution multilatérale, qui a fait escale à Madagascar en juillet durant son dernier roadshow sur le continent, rappelle la nécessité de soutenir des projets risqués, de l’électricité solaire à l’agroalimentaire.
L’ancienne ministre rwandaise prendra le 1er octobre la tête du bureau Afrique de l’Organisation internationale, où elle remplace la Nigériane Cynthia Samuel-Olonjuwon.
La filiale de la Banque mondiale consacrée au secteur privé coopte une nouvelle représentante pour l’Afrique centrale. L’économiste sénégalaise doit mettre en particulier l’accent sur la diversification des économies en misant sur l’agro-industrie.
La start-up ivoirienne Anka vient de réussir une levée de fonds de 5 millions d’euros. De quoi accélérer encore le développement du site Afrikrea qui veut contribuer à l’essor de l’exportation du « made in Africa » auprès des diasporas.
Malgré l’urgence, la construction de routes, barrages et ports patine sur le continent. Pour combler ce déficit d’infrastructures, banques de développement et secteur privé plébiscitent les partenariats public-privé.
Partenariat avec Africa50, promotion des PPP, élaboration d’un cadre réglementaire… La responsable des infrastructures pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale de la Société financière internationale dévoile ses recettes pour faire avancer le continent.
Selon Tidjane Thiam, Rémy Rioux et Makhtar Diop, le développement économique de l’Afrique devrait être grandement stimulé par des investissements massifs dans l’industrie du sport, écosystème porteur de nombreuses opportunités, sur un continent qui ne veut plus se contenter de la charité internationale.
En mettant l’accent sur le financement de projets agricoles, le Burundais Olivier Buyoya, nommé à la tête de la zone Afrique de l’Ouest de la Société financière internationale en novembre 2022, imprime déjà sa marque au sein de l’institution.
L’économiste était auparavant responsable du Sénégal, du Cap-Vert, de la Guinée-Bissau, de la Mauritanie et la Gambie au sein de la filiale de la Banque mondiale dévolue au secteur privé. Rencontre.
Le conglomérat malgache dirigé par Hassanein Hiridje a signé un accord en vue d’acquérir une participation supplémentaire de 40 % du deuxième opérateur du pays pour en détenir finalement 80 %.
En se retirant de l’accord sur l’exportation des céréales ukrainiennes, Vladimir Poutine prend le risque d’accentuer l’insécurité alimentaire sur le continent, déjà frappé par une inflation galopante. Il existe pourtant une parade à cette situation : le recours aux cultures locales.