Tout juste 24 heures après avoir confirmé des suppressions de postes au Mali, au Burkina Faso et en Ouganda, la start-up a annoncé avoir réuni 90 millions d’euros pour son développement en Afrique de l’Ouest.
Pour ses 10 ans, et après deux années d’absence pour cause de pandémie, le plus grand rendez-vous du secteur privé africain s’est concentré sur les moyens à mettre en œuvre pour créer davantage de richesses tout en défendant la souveraineté du continent.
Quel est l’impact du choc inflationniste ? Comment en réduire les conséquences ? Comment atteindre la souveraineté alimentaire ? En marge de l’Africa CEO Forum d’Abidjan, le directeur de la Société financière internationale (IFC), la filiale de la Banque mondiale dévolue au secteur privé, nous livre son analyse.
Pour Makhtar Diop, directeur général d’IFC, les débuts de la Zone de libre-échange continentale africaine sont encourageants. Néanmoins, pour que cet accord réalise son plein potentiel, il doit s’accompagner d’investissements privés massifs.
L’Institut Pasteur de Dakar élaborera bientôt des vaccins contre le Covid-19 et autres maladies endémiques. Une unité de fabrication d’une capacité de production annuelle de 300 millions de doses est en construction à Diamniadio. Une grande première à l’échelle du continent.
Ngozi Okonjo-Iweala, Makhtar Diop, Lazare Eloundou Assomo… Ils sont à la tête de l’Organisation mondiale du commerce, de la Société financière internationale et du Centre du patrimoine mondial de l’Unesco. Des places à la hauteur des enjeux du continent.
Parcours, philosophie de carrière, vision du continent… Rencontre avec le directeur régional pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale d’IFC, filiale de la Banque mondiale dévolue au secteur privé.
Makhtar Diop, à la tête de IFC, a mobilisé ses ressources pour accélérer la production sur le continent du vaccin contre le Covid-19. Pour cette opération, la filiale du groupe de la Banque mondiale s’est associée au français Proparco, à l’allemand DEG et à l’américain DFC.
Santé, numérique, agrobusiness… Le nouveau patron de IFC (Banque mondiale) détaille à JA les contours de sa mission pour le continent, où il prévoit une enveloppe de 30 milliards de dollars.
OMC, IFC, OMS… Les Africains à la tête des plus grandes institutions internationales ont plaidé pour une plus grande solidarité dans la distribution mondiale des vaccins, lors des réunions de printemps 2021 de la Banque mondiale et du FMI.
À 60 ans, l’économiste sénégalais prend la tête de la Société financière internationale (IFC, Groupe Banque mondiale). La consécration d’une approche méticuleuse, patiente et discrète.
L’actuel vice-président de la Banque mondiale pour les Infrastructures a été choisi pour succéder au Français Philippe Le Houérou à la tête de l’institution internationale, a appris Jeune Afrique.
Banquiers, gouvernants, dirigeants de telco, mais aussi gouverneurs de Banques centrales et ministres des Finances ont rendez-vous les 10 et 11 mars pour débattre de l’avenir de la finance sur le continent.
Le patron sortant de l’IFC, filiale de la Banque mondiale dédiée au secteur privé, appelle les États à maintenir les réformes pour améliorer le climat des affaires, malgré la crise du coronavirus.
Après seulement deux ans de présence sur le marché kényan, Shoprite jette l’éponge. Un retrait qui suit ceux de Choppies et TFG, et la faillite du géant Nakumatt.
Le directeur général de l’IFC, la branche secteur privé de la Banque mondiale, évoque les réformes à mettre en œuvre pour faire effectivement émerger une zone de libre-échange.
La Société financière internationale (IFC) a accordé un prêt de 200 millions de dollars au producteur guinéen de bauxite. Ce financement entre dans le cadre d’un vaste plan d’expansion d’une valeur de 1 milliard de dollars.
La Banque tuniso-koweïtienne (BTK) se voit octroyer un crédit de 25 millions d’euros par la Société financière internationale (IFC) avec l’objectif de favoriser les prêts aux PME. En 2013, IFC avait pris une participation au capital d’Amen Bank, la troisième banque tunisienne.
La Société d’exploitation du Transgabonais, exploitant du réseau ferroviaire de 650 km qui relie le sud-est du Gabon à la côte Atlantique, a reçu un prêt de 85 millions d’euros, apporté par la Société financière internationale et le français Proparco, pour financer la rénovation de ses infrastructures.
Le consortium chargé du projet Simandou Sud (Rio Tinto, Chinalco et IFC) a soumis à la République de Guinée les études de faisabilité financière pour l’exploitation du gisement de fer du mont Simandou. La mise en exploitation, initialement fixée à 2018, devrait toutefois être retardée, en raison notamment de la conjoncture difficile traversée par l’industrie minière.
Lancé par la BAD en 2013, ce fonds dévolu aux infrastructures peine à décoller. Son nouveau directeur général, un Camerounais venu de l’IFC, saura-t-il activer la machine ?
Déforestation, spoliation des terres, conditions de travail… Le groupe belgo-luxembourgeois, dont l’homme d’affaires français est actionnaire, concentre les critiques sur la gestion de ses plantations.
En développant des infrastructures de transport, les groupes miniers, pétroliers ou forestiers peuvent participer au désenclavement de régions entières. Les États doivent apprendre à en tirer parti.
Face à l’afflux de fonds en Afrique, la filiale de la Banque mondiale s’est fixé une nouvelle mission : faire émerger des projets solides (énergie, transports…) susceptibles d’attirer les investissements.
La filiale de la Banque mondiale veut intervenir dans une dizaine de fonds de capital-investissement, spécifiquement positionnés sur les PME en Afrique, et ce d’ici cinq ans. Elle participera à hauteur de 20 à 25% dans un programme d’investissement de 250 millions de dollars dans des PME africaines sur un périmètre géographique élargi.
A l’occasion de la quatrième édition du Africa CEO Forum qui se tenait à Abidjan les 21 et 22 mars, la Société financière internationale (IFC) a publié un rapport plaidant pour un recours plus fréquents à des mécanismes de financement novateurs.
Les établissements privés suscitent l’intérêt des capital-investisseurs. I&P, Africinvest et l’IFC, entre autres, misent sur ce domaine en plein développement.
Aux hôpitaux les soins de base et les urgences, aux cliniques les pathologies plus coûteuses… Cette répartition des rôles sera-t-elle l’avenir de la santé en Afrique ?
Le groupe agro-industriel Société ivoirienne de productions animales (Sipra), fondé par Jean Marie Ackah, a investi 5 milliards de FCFA (environ 7,6 millions d’euros) dans ce projet.