A l’occasion du 14e congrès de l’Union nationale de la femme tunisienne (UNFT), qui s’est tenu le 28 octobre 2017, le porte-parole du gouvernement, Iyed Dahmani, a annoncé l’engagement du gouvernement à prendre toutes les mesures nécessaires à la refondation de l’association. Récit.
L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) ne devrait pas avoir de place dans le paysage politique tunisien, elle y tient cependant une position… « centrale ».
Le projet de budget 2018 est révélateur des travers du pilotage économique du pays, qui empêchent ce dernier de repartir de l’avant. Car le coût de la lutte antiterroriste n’explique pas tout. Décryptage.
Ils manifestent en réaction aux propos d’un conseiller du chef du gouvernement, qui a évoqué la possibilité de privatiser la RNTA pour renflouer les caisses de l’État.
Une délégation de 29 membres de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) est à Damas depuis le week-end dernier. Durant cette visite, elle a rencontré le président syrien, pour l’appuyer dans sa « lutte contre le terrorisme », dit-elle.
Lassaad Yacoubi est-il en passe de gagner son pari ? Il y a un an, le patron du syndicat de l’enseignement secondaire (une section de l’UGTT) avait lancé une offensive contre le ministre de l’Éducation nationale, Néji Jalloul, dont il contestait les réformes, faisant de sa chute une affaire personnelle.
Il devient difficile de rencontrer un Tunisien heureux. Et je ne vous parle pas des anciens de Ben Ali, des esprits chagrins du passé ou des notables déchus. Je vous parle de l’homme de la rue. Celui qui n’a jamais fait de politique et qui fut un temps fier de sa révolution.
Ce syndicaliste pur jus prend les commandes de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT). Dans la droite ligne de son prédécesseur, il devrait être un interlocuteur incontournable du gouvernement.
Sans surprise, après son 23e Congrès, l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) consolide son assise et mise sur la continuité. Une première, toutefois est à noter : une femme intègre le bureau exécutif du syndicat.
La puissante centrale syndicale de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a tenu dimanche son 23ème Congrès. Quatre jours pour fixer les orientations des cinq prochaines années et à l’issue desquels seront désignés les successeurs à la direction, parmi les quarante candidats en lice.
Le projet de loi de finances pour l’année 2017, en cours d’examen à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), passe mal auprès de différents acteurs de la société. Parmi eux, des médecins, patrons, fonctionnaires et avocats, qui dénoncent une « atteinte à la paix sociale ».
Le projet de budget, qui prévoit notamment le gel du salaire des fonctionnaires et la mise à contribution des entreprises, s’est attiré les foudres du syndicat de patrons Utica, qui est monté au créneau mercredi, rejoignant le désaccord de la puissante centrale syndicale UGTT. Présenté par le gouvernement récemment investi de Youssef Chahed, ce projet de budget vise notamment à relancer la croissance en berne et à réduire le déficit budgétaire.
La Tunisie et la Commission européenne ont entamé mercredi des discussions concernant les visas de courts séjours et la situation des migrants. Leur projet d’accord ne convainc pas la société civile.
Alternant revendications sociales et action politique, la puissante centrale syndicale passe de partenaire de l’exécutif à opposante acharnée. Au risque de fragiliser un peu plus une économie déjà très instable.
Suspense, rebondissements, rivalité de clans, scénario à rallonge… Le feuilleton du gouvernement d’union nationale n’a rien à envier à ceux du petit écran. Mais pour combien de temps encore le pays sera-t-il tenu en haleine ?
Depuis qu’il a annoncé son initiative de former un gouvernement d’union nationale, le président tunisien Béji Caïd Essebsi multiplie les rencontres, aussi bien avec des responsables politiques qu’avec les organisations patronales et syndicales. Réunions au sommet en ce début de semaine.
Habib Essid, le chef du gouvernement tunisien, est toujours à son poste. Il n’entend pas démissionner, du moins pas pour le moment, et il continue à vaquer à ses occupations, imperturbablement. Il donne le change, mais son sort semble scellé.
Le principal syndicat tunisien UGTT membre du quartet qui a reçu le Prix Nobel de la Paix a dénoncé jeudi la décision prise le 2 mars par les États du Golfe de classer le mouvement chiite libanais Hezbollah comme terroriste.
Couverte de louanges pour son rôle pacificateur durant les quatre années qui ont suivi la révolution, l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) inquiète gouvernement et milieux économiques par son appui aux mouvements sociaux qui traduisent l’impatience des Tunisiens.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans. Parmi eux, un quartet de choc – constitué de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica, patronat), de la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH) et de l’Ordre des avocats – qui a joué un rôle crucial pour la mise en place d’un dialogue national.
La puissante centrale syndicale tunisienne (UGTT) a annoncé, lundi 23 septembre, prévoir une « grande manifestation nationale pacifique » à Tunis pour pousser la coalition au pouvoir, dirigée par Ennahdha, à accepter la feuille de route des organisations de la société civile.
Ennahdha, le parti islamiste au pouvoir en Tunisie, a annoncé, vendredi, accepter la feuille de route soumise par le syndicat UGTT, afin de résoudre la profonde crise politique qui mine le pays. Le document prévoit notamment l’installation d’un gouvernement de technocrates.
Le syndicat tunisien UGTT a proposé le mardi un nouveau scénario pour tenter de sortir la Tunisie de l’impasse politique. Il demande aux partis des deux camps de se réunir à une date non précisée, avec le président Marzouki et le Premier ministre Larayedh, pour annoncer solennellement que le gouvernement dirigé par les islamistes sera remplacé sous trois semaines par un cabinet d’indépendants.
Le puissant syndicat UGTT a repris, mercredi 21 août, sa médiation entre l’opposition et le parti islamiste Ennahdha, qui dirige le gouvernement. L’objectif est de trouver une issue à la crise politique dans laquelle le pays est enlisé depuis fin juillet.
Le secrétaire général du puissant syndicat UGTT, Houcine Abassi, s’est longuement entretenu avec le chef d’Ennahdha, Rached Ghannouchi, lundi 12 août. Sans parvenir à rapprocher les positions du parti islamiste et de l’opposition.
Relativement neutralisée sous Ben Ali, l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) est revenue sur le devant de la scène à la faveur de la révolution. Elle fait désormais figure de rempart contre la volonté hégémonique des islamistes.
Les rapports entre l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) et le parti islamiste au pouvoir, Ennahdha, se sont tellement dégradés en un an que le pays a été menacé de paralysie par une grève générale, prévue le 13 décembre et annulée in extremis. Face au risque d’une nouvelle aggravation des tensions dans un pays en crise, les lignes ont finalement bougé.