L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) est une agence de l’Onu chargée de promouvoir la coopération internationale dans les secteurs de l’éducation, de la science et de la culture. Formée en 1945, elle compte 195 États-membres et 9 membres associés.
Contre toute attente, la Française d’origine marocaine, fille du conseiller de Mohammed VI, a remporté le 13 octobre la direction générale de l’Unesco face au Qatari Hamad Al-Kawari.
Unesco, Togo, sommet UA-UE d’Abidjan : la semaine du 9 octobre a été intense pour Alpha Condé, le chef de l’État guinéen, par ailleurs président en exercice de l’Union Africaine.
La candidate de la France à la direction générale de l’Unesco l’a emporté après une campagne intense. Elle était en lice face à Hamad Al-Kawari, le représentant du Qatar.
L’État hébreu a annoncé son retrait de l’Unesco le 12 octobre, dans la foulée des États-Unis qui, quelques heures plus tôt, avaient fustigé les positions « anti-israéliennes » de l’organisation onusienne.
Ils sont neuf à briguer le poste de directeur général de l’organisation onusienne. À quelques jours du scrutin, chacun multiplie les opérations séduction, notamment à l’égard de l’Afrique, et compte ses soutiens.
Il est le candidat d’un pays puissant et fait la course en tête, mais prudence ! À l’Unesco, on déjoue parfois tous les pronostics, et le Chinois Qian Tang, 66 ans, le sait mieux que tout autre.
La candidate égyptienne au poste de directeur général de l’Unesco se pose comme la représentante du monde arabe, tout en étant soutenue par l’Union africaine.
Avant l’élection d’octobre, la candidate de la France au poste de directeur général de l’Unesco formule ses propositions pour revitaliser l’institution onusienne. Protection du patrimoine, restitution d’œuvres d’art, financement, communication… La tâche est immense.
Les Erythréens ont toujours soutenu qu’il n’y avait pas en Afrique une autre ville comme leur capitale Asmara et l’Unesco a confirmé leur sentiment en l’inscrivant samedi sur sa liste du patrimoine culturel mondial.
Une stèle en mémoire de l’esclavage a été inaugurée par le vice-président ivoirien Daniel Kablan Duncan jeudi 6 juillet à Kanga-Gnianzé, près de Tiassalé. Une cérémonie à laquelle ont assisté l’ancien président béninois Nicéphore Soglo, l’historien Elikia M’Bokolo, mais aussi l’ex-footballeur Lilian Thuram.
L’Unesco a retiré le parc national de la Comoé de sa liste du patrimoine en péril, ce mardi 4 juillet. Les espèces emblématiques de ce site, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité en 1983, « se régénèrent », estime l’organisme onusien.
Le Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO se prononcera du 2 au 12 juillet sur les propositions d’inscription de 35 sites sur sa liste. Parmi eux, cinq pays africains. Explications et pronostics.
Ancien ministre de la Culture du Qatar (2008-2016), diplomate chevronné – il fut en poste à Paris, à l’Unesco et au siège des Nations unies, à New York –, ce francophone de 69 ans est l’un des candidats les plus déterminés au poste de directeur général de l’organisation.
Jamais un représentant du monde arabe n’a occupé le secrétariat général de l’UNESCO. Comment remédier à cette anomalie ? Par une multiplication des candidatures ? Réponse au mois d’octobre.
La Tunisie compte à ce jour huit sites classés, dont les médinas de Tunis et de Sousse, l’amphithéâtre romain d’El Jem, dans l’est du pays, ou encore les sites archéologiques de Carthage et de Dougga, dernier en date inscrit, il y a déjà vingt ans.
Les auditions des neuf candidats à la direction générale de l’Unesco, organisées à Paris les 26 et 27 avril, ont été marquées par une féroce bataille diplomatique.
La candidature surprise d’Audrey Azoulay, la ministre française de la Culture, au poste de directeur général de l’Unesco passe mal auprès des chancelleries arabes.
Antime Baranshakaje, figure historique de la culture burundaise, a rendu l’âme dimanche 9 avril après quatre mois d’hospitalisation. Une nouvelle tragique qui suscite l’émoi dans tout le pays.
Élue par l’Unesco Capitale mondiale du livre 2017, Conakry va vivre pendant toute une année au rythme de la lecture, de la culture et de l’ouverture. Coup d’envoi le 23 avril.
Le commissaire général de Conakry Capitale mondiale du livre (CCML) et directeur de L’Harmattan-Guinée, Sansy Kaba Diakité, détaille le programme et les enjeux de l’année culturelle qui se profile à Conakry.
Le ministère burkinabé de la Culture, des Arts et du Tourisme a lancé fin novembre un appel au dons pour financer le projet de rénovation de la mosquée de Dioulassoba. Située en plein cœur de Bobo-Dioulasso, deuxième ville du pays, elle a aujourd’hui plus d’un siècle.
De nombreux artistes maliens se réunissent ce mercredi au siège de l’Unesco à Paris pour promouvoir l’enseignement de l’Histoire générale de l’Afrique, au sein de l’Unesco, qui travaille depuis 1964 sur un vaste projet de réécriture de l’histoire du continent.
Le Comité du patrimoine mondial, réuni depuis le 10 juillet à Ankara, a pris cette décision à cause de l’insécurité dans la région qui ne permet pas d’assurer la protection de la cité antique.
Alors que les crises sécuritaires, sanitaires, migratoires, environnementales, économiques, sociales et même civilisationnelles posent avec acuité la question d’un règlement international commun, des organes majeurs des Nations unies vont voir leurs directions renouvelées en 2017, à commencer par son Secrétariat général où le Sud-Coréen Ban Ki-moon cédera sa place le 1er janvier 2017.
La moitié des sites du Patrimoine mondial naturel sont menacés par l’activité humaine, a alerté mercredi le Fonds mondial pour la nature (WWF). Plusieurs d’entre eux font la beauté de l’Afrique, mais jusqu’à quand ?
Le régime syrien pourchassait lundi les jihadistes du groupe État islamique (EI) au lendemain de la reprise de la ville de Palmyre, une victoire majeure pour l’armée qui veut extirper cette organisation de ses principaux fiefs en Syrie.