Des militants se présentant comme des victimes de la répression politique des trois dernières années en RDC ont appelé Félix Tshisekedi à revenir sur la nomination de Roger Kibelisa, assistant du conseiller spécial du président en matière de sécurité, visé par des sanctions de l’Union européenne.
Entre la fin du mandat d’Abdelaziz Bouteflika, le report du Brexit ou la reconnaissance américaine de la souveraineté d’Israël sur le plateau du Golan, le mois d’avril s’annonce chargé en événements.
La Fondation Magic System s’est engagée le 1 mars à Abidjan aux côtés de l’Union européenne (UE) à promouvoir la paix, la cohésion sociale et la démocratie en Côte d’Ivoire, en prélude de la présidentielle prévue en 2020 et qui suscite déjà de fortes tensions entre les acteurs politiques.
Depuis l’investiture du nouveau président, le 24 janvier, le camp Kabila et le camp Tshisekedi n’ont pas affiché leurs divergences… Sauf à une occasion.
Le président Félix Tshisekedi avait initialement prévu de réclamer à l’Union européenne (UE) la levée des sanctions à l’encontre de plusieurs personnalités proches de son prédécesseur Joseph Kabila, selon la version écrite de son allocution. Finalement, il a prononcé un discours très diplomatique à destination de son partenaire, avec qui il a assuré vouloir « redynamiser » ses relations.
Refoulement aux frontières, durcissement des règles d’entrée, refus de visas… les artistes maghrébins font face à des autorités européennes qui semblent toujours plus réticentes à les accueillir. Souvent invités sur le Vieux Continent pour des missions ponctuelles, ils se disent victimes d’un raidissement de la politique migratoire. Témoignages.
Le ministre congolais des Affaires étrangères, Léonard She Okitundu, a donné 48 heures à l’Union européenne pour rappeler son ambassadeur à Kinshasa. Cette « mesure de rétorsion » intervient suite au renouvellement des sanctions de l’UE contre Kinshasa, le 10 décembre.
L’ancien diplomate français, qui a consacré l’essentiel de sa carrière à l’Afrique subsaharienne, a publié en novembre 2018 « Le Grand Livre de l’Afrique », dans lequel il dresse un panorama, à rebours des idées reçues, de l’actualité africaine. Aide internationale, groupes terroristes, causes du sous-développement du continent… Nicolas Normand tord le cou aux clichés sur l’Afrique subsaharienne.
D’après le dernier décompte publié samedi 22 décembre par la Commission électorale, l’ancien chef de l’État Andry Rajoelina s’achemine vers une victoire confortable au second tour de l’élection présidentielle à Madagascar, face à son rival Marc Ravalomana qui dénonce des fraudes.
L’ONU, l’Union africaine et la Côte d’Ivoire, présidente en exercice du Conseil de sécurité, ont plaidé mercredi en faveur des organisations internationales oeuvrant pour la paix dans le monde, au lendemain de nouvelles critiques américaines mettant en cause leur efficacité.
Selon Carlos Lopes, les relations entre l’Afrique et l’Europe doivent évoluer pour prendre en compte les évolutions qui ont eu lieu en Afrique au cours des vingt dernières années, et permettre de construire un partenariat diversifié, au-delà d’une relation de dépendance fondée presque exclusivement sur l’aide au développement.
En proposant que les pays occidentaux construisent des « villes sous charte » en Afrique afin de limiter les flux migratoires vers l’Europe, Günter Nooke, conseiller spécial pour l’Afrique d’Angela Merkel, s’aligne sur une thèse controversée selon laquelle le développement du continent ne peut provenir que de l’extérieur.
Plus disposées à trouver des solutions au-delà des positions de principe, les collectivités locales de toute nature ont un rôle à jouer pour construire un véritable plan pour la Méditerranée.
Une centrale électrique solaire sera mise en service en 2021 à Niamey, qui connaît des pannes chroniques d’approvisionnement, selon la télévision nigérienne et l’Agence française de développement (AFD).
L’Union européenne a décidé le 25 octobre de renouveler d’un an les mesures restrictives prises à l’encontre de personnalités accusées d’entraver le processus de sortie de crise.
Que resterait-il à l’Afrique si tous les jeunes partaient ? Qui pourrait assurer le relais, travailler pour les générations futures, atteler le continent au convoi des pays développés ?
Carlos Lopes, haut représentant de l’Union africaine pour les négociations avec l’Europe dans le cadre de l’après-Cotonou, appelle à la reconstruction d’un partenariat européano-africain sur la base des nouvelles réalités économiques du continent.
Ne plus considérer l’Afrique du point de vue d’un « donneur d’aide au développement » mais comme un « partenaire économique dans un échange d’égal à égal », c’est en substance ce qu’a déclaré le 12 septembre le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, dans son discours sur l’état de l’Union.
Alors que la divulgation d’un sévère rapport interne de l’Union européenne a crispé les relations avec la Côte d’Ivoire, l’ex-ambassadeur de l’UE à Abidjan, Jean-François Valette, confirme ses critiques dans un courrier à Jeune Afrique.
L’Allemand Jobst von Kirchmann succède à Jean-François Valette à la tête de la délégation de l’UE en Côte d’Ivoire, Joseph Kabila a assisté à l’investiture d’Emmerson Mnangagwa, Joël Meyer, l’ambassadeur de France en Mauritanie, devrait rejoindre le Mali… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Réélu dès le premier tour avec 50,8% des voix, le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa fait face à la colère des partisans de Nelson Chamisa, candidat du MDC-Alliance arrivé second (44,3%), qui conteste les résultats du scrutin. Mark Stevens, chef adjoint de la mission d’observation de l’Union européenne, livre son analyse.
Quelques heures seulement après la révélation par Jeune Afrique de l’affaire, Emmanuel Ilunga, ministre en charge des Congolais de l’étranger, a annoncé jeudi soir le retrait des « instructions » relatives aux restrictions des visas aux Français et aux Belges.
Emmanuel Ilunga, ministre en charge des Congolais de l’étranger, a confirmé jeudi à Jeune Afrique la décision de Kinshasa de n’accorder aux ressortissants français et belges que des « visas humanitaires ou pour soins médicaux ».
L’ancienne ministre italienne de l’Intégration est à la tête de la mission d’observation que l’Union européenne envoie au Mali à l’occasion de la présidentielle du 29 juillet.
L’Union européenne et le Maroc ont paraphé ce mardi un nouvel accord de pêche valable pour les quatre prochaines années, qui inclut explicitement les eaux adjacentes au Sahara occidental.
La Commission européenne a approuvé un nouveau mécanisme de financement destiné aux jeunes, aux migrants et aux femmes entrepreneurs des pays d’Afrique subsaharienne et du pourtour méditerranéen. Ce programme sera géré par l’agence hollandaise de financement du développement FMO.
Carlos Lopes discutera en septembre du partenariat UA-UE, les dix chefs d’État africains à la cérémonie d’investiture du président Erdogan, Béatrice Le Fraper Du Hellen nommée ambassadrice de France en Libyen… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Huit bailleurs de fonds internationaux, dont le FMI, la Banque mondiale et l’Union européenne, se sont rendus au chevet de la Tunisie les 11 et 12 juillet. Ils promettent de soutenir ensemble le pays durant les deux prochaines années.
Marocains, Algériens et Tunisiens sont de plus en plus nombreux à demander l’asile en France et au sein de l’Union européenne. Des chiffres toutefois très relatifs, en comparaison d’autres nationalités.
Offrir une sépulture digne aux migrants morts en mer, c’est le combat de Chamseddine Marzoug. Ce pêcheur a transformé l’ancienne décharge de Zarzis en « cimetière des oubliés ». Aujourd’hui, il cherche des fonds pour en aménager un nouveau. En vain.