Les dirigeants de l’Union européenne, Herman Van Rompuy et Jose Manuel Barroso, ont averti dimanche le gouvernement égyptien que l’UE était prête à « réexaminer » ses relations avec l’Égypte s’il n’y était pas mis fin aux violences.
Pour des raisons de politique intérieure, le Premier ministre britannique veut renégocier l’appartenance de son pays à l’UE. Certains l’accusent déjà de jouer les apprentis sorciers.
Face à la crise qui frappe la zone euro et à ses conséquences sur leur économie, les Britanniques se laissent de plus en plus séduire par les sirènes de l’euroscepticisme.
Dans le monde de l’Internet on appelle ça un « fail », entendez une bourde. Le dernier en date provient d’un clip vidéo de la Commission européenne, publié mardi 6 mars, qui entendait faire la promotion des bienfaits de l’élargissement de l’Union européenne. Jugé raciste, il ne sera resté que quelques heures en ligne avant que la Commission ne le retire et présente ses excuses.
Plusieurs personnalités se réunissent le 10 janvier à Bruxelles. Objectif : faire pression sur l’Union européenne, qui peine à respecter ses engagements concernant les programmes d’échange d’étudiants avec les pays du Sud de la Méditerranée.
Plusieurs personnalités pro-Gbagbo ont bénéficié d’une levée des sanctions prises au début de l’année 2011 par l’Union européenne. Parmi elles, Paul Yao N’Dre, qui avait annoncé Laurent Gbagbo vainqueur du scrutin présidentiel.
C’est le noyau dur du système partisan et sécurocrate de Laurent Gbagbo qui se trouve visé par les sanctions de l’Union européenne – restrictions de visas et gel des avoirs. Des membres éminents du FPI comme Pascal Affi N’Guessan ou Paul Yao N’Dré, mais aussi des représentants des services de sécurité comme Kadet Bertin ou le propre garde du corps de Simone Gbagbo sont concernés.