L’Union européenne a appelé vendredi à ce qu’une enquête urgente soit menée sur la fosse commune découverte près de Kinshasa et qui suscite de nombreuses questions en République démocratique du Congo et à l’étranger.
L’Union européenne a octroyé, lundi, au Zimbabwe une enveloppe de 234 millions d’euros sur six ans destinée à l’agriculture et la santé. Un bol d’air vital pour un pays dont l’économie est axphysié par une décennie de sanctions économiques.
De quels pays africains sont originaires les nouveaux naturalisés de l’Union européenne ? Grâce aux données d’Eurostat, l’office statistique de l’UE, « Jeune Afrique » fait le point.
C’est l’Italienne Federica Mogherini qui, à partir du 1er novembre, dirigera la politique étrangère et de sécurité commune en lieu et place de la Britannique Catherine Ashton.
La gifle infligée le 25 mai aux partis de gouvernement par le succès électoral des partis populistes et xénophobes – qui ont plus que doublé le nombre de leurs élus au Parlement de Strasbourg -, et notamment la spectaculaire percée du Front national, devenu le premier parti eurosceptique de France, suscite beaucoup de questions. Sans prétendre à l’exhaustivité, Jeune Afrique a choisi de répondre à quatre d’entre elles.
Les militaires d’Eufor-RCA, la force de l’Union européenne en Centrafrique, ont débuté mercredi leur mission de sécurisation de l’aéroport M’Poko de Bangui. Actuellement composée d’environ 150 hommes, cette force doit monter progressivement en puissance jusqu’à compter en juin 800 hommes.
Près de 80 dirigeants africains et européens étaient réunis les 2 et 3 avril à Bruxelles à l’occasion du quatrième sommet organisé entre l’Union européenne et l’Afrique. Retour sur deux jours de discussions intenses.
Le président français, François Hollande, et plusieurs de ses homologues d’Afrique centrale se réuniront à Bruxelles pour un mini-sommet sur la Centrafrique en marge du sommet UE-Afrique (2 et 3 avril). La chef de l’État de la transition, Catherine Samba-Panza, a également été conviée.
Les dirigeants de l’Union européenne, Herman Van Rompuy et Jose Manuel Barroso, ont averti dimanche le gouvernement égyptien que l’UE était prête à « réexaminer » ses relations avec l’Égypte s’il n’y était pas mis fin aux violences.
Pour des raisons de politique intérieure, le Premier ministre britannique veut renégocier l’appartenance de son pays à l’UE. Certains l’accusent déjà de jouer les apprentis sorciers.
Face à la crise qui frappe la zone euro et à ses conséquences sur leur économie, les Britanniques se laissent de plus en plus séduire par les sirènes de l’euroscepticisme.
Dans le monde de l’Internet on appelle ça un « fail », entendez une bourde. Le dernier en date provient d’un clip vidéo de la Commission européenne, publié mardi 6 mars, qui entendait faire la promotion des bienfaits de l’élargissement de l’Union européenne. Jugé raciste, il ne sera resté que quelques heures en ligne avant que la Commission ne le retire et présente ses excuses.
Plusieurs personnalités se réunissent le 10 janvier à Bruxelles. Objectif : faire pression sur l’Union européenne, qui peine à respecter ses engagements concernant les programmes d’échange d’étudiants avec les pays du Sud de la Méditerranée.
Plusieurs personnalités pro-Gbagbo ont bénéficié d’une levée des sanctions prises au début de l’année 2011 par l’Union européenne. Parmi elles, Paul Yao N’Dre, qui avait annoncé Laurent Gbagbo vainqueur du scrutin présidentiel.
C’est le noyau dur du système partisan et sécurocrate de Laurent Gbagbo qui se trouve visé par les sanctions de l’Union européenne – restrictions de visas et gel des avoirs. Des membres éminents du FPI comme Pascal Affi N’Guessan ou Paul Yao N’Dré, mais aussi des représentants des services de sécurité comme Kadet Bertin ou le propre garde du corps de Simone Gbagbo sont concernés.