L’USFP (Union socialiste des forces populaires) est un parti politique marocain né en 1975 qui se réclame du socialisme. Driss Lachgar en est le premier secrétaire depuis 2012.
À l’élection partielle du 12 septembre, dans la circonscription de Rabat-Océan, un candidat de la majorité affrontera trois représentants de l’opposition. Décryptage.
Snobé par les partis d’opposition, chahuté en interne, le premier secrétaire socialiste, Driss Lachgar, a raté son coup politique. Retour sur sa fronde lancée contre le gouvernement et sur les raisons de son échec.
Premier parti d’opposition – avec seulement 34 sièges sur 395 –, l’Union socialiste des forces populaires table sur une improbable démission forcée du gouvernement. Mais de quels leviers disposent les socialistes face à l’écrasante majorité d’Aziz Akhannouch ?
Après le rappel à l’ordre lancé par Mohammed VI face à la multiplication des affaires de corruption impliquant des parlementaires, la Chambre des représentants planche sur l’élaboration d’un code de déontologie qui devrait être rapidement adopté.
Coordination de leur action, dénonciation de l’inertie du gouvernement Akhannouch, révocation de deux de leurs députés, affaire du « Pablo Escobar du Sahara »… Les états-majors des deux partis de gauche ont fait bloc lors d’une réunion organisée ce mercredi 10 janvier à Rabat.
Décision rare, la révocation des deux parlementaires a été décidée le 3 janvier. Saïd Zaïdi la conteste, tandis qu’Abdelkader El Boussairi, lui, croit encore en ses chances d’être acquitté dans l’affaire locale de corruption qui lui a valu d’être écarté.
En froid depuis plus de dix ans, l’Union socialiste des forces populaires (USFP) et le Parti du progrès et du socialisme (PPS) ont trouvé un terrain d’entente. Sauront-ils entretenir la flamme jusqu’aux élections en 2026 ?
D’un quartier populaire de la province de Casablanca aux arcanes du cabinet royal, Mohamed Moâtassim, lancé par Driss Basri, a connu une ascension fulgurante. Il est décédé ce lundi à l’âge de 67 ans.
Coutumier des coups d’éclat, le ministre de la Justice et secrétaire général du PAM est à nouveau au centre d’une polémique. Une affaire qui pourrait compromettre son avenir au sein du gouvernement d’Aziz Akhannouch.
Le chef du gouvernement et secrétaire général du RNI fait l’objet d’une contestation qui dure depuis une dizaine de jours. En cause : l’inflation et des accusations de conflits d’intérêts. Une crise exacerbée par une communication maladroite.
Sorties médiatiques, réunions régionales, recrutement de notables… Le premier secrétaire du parti socialiste est sur tous les fronts. Objectif : éviter une nouvelle Bérézina électorale.
Ministre de la Santé dans le gouvernement Othmani jusqu’en octobre dernier, poussé vers la sortie du Parti du progrès et du socialisme (PPS) pour s’être opposé à la décision du parti de quitter l’exécutif, Anas Doukkali est en discussions avancées avec l’Union socialiste des forces populaires (USFP).
Après des années de division et ne disposant que de 20 sièges à la Chambre des représentants, le parti social-démocrate essaie de faire peau neuve en ramenant à lui tous ses membres et sympathisants dispersés.
Élu député à dix reprises, Abdelouahed Radi (84 ans), personnalité incontournable de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) et du militantisme marocain de gauche, siège toujours à la chambre basse du Parlement.
Sanctions royales, crise du Rif, alliance avec les islamistes du PJD, diplomatie parlementaire… Habib El Malki, le troisième personnage de l’État répond aux questions qui fâchent.
Après avoir été l’un des plus jeunes membres de l’exécutif, l’actuel ministre délégué aux Marocains résidant à l’étranger, Abdelkrim Benatiq a connu quelques déboires. Avant de revenir aux affaires. Parcours.
Des dirigeants qui lavent leur linge sale sur les réseaux sociaux, des manœuvres pour préparer le prochain congrès, des instances qui tournent au ralenti… Le Parti de la justice et du développement semble plus divisé que jamais. Risque-t-il pour autant d’imploser ?
Une fois de plus, l’USFP est en crise. La gestion autoritaire de Driss Lachgar est dénoncée par dix membres du bureau politique à l’approche du congrès. Ces derniers réfléchissent à s’unir autour de Hasna Abou Zeid.
Retour dans l’Union africaine, crise gouvernementale, leadership au sein de l’USFP, évolution démocratique du royaume… Le doyen des parlementaires passe en revue les grands dossiers du moment et rembobine plus d’un demi-siècle de carrière.
Driss Lachgar, le patron de l’Union socialiste des forces populaires (USFP), n’est pas sorti indemne du conseil national du parti, qui s’est tenu le 23 juillet.
La disparition tragique du député marocain Ahmed Zaïdi a conforté ses camarades dans leur décision de quitter l’Union socialiste des forces populaires (USFP).
Le premier secrétaire de l’USFP, Driss Lachgar, et Ahmed Zaidi, son rival malheureux aux élections de décembre 2012, n’ont toujours pas enterré la hache de guerre. Loin s’en faut.
Aussi peu attentiste qu’adepte du consensus mou, le nouveau premier secrétaire de l’USFP, Driss Lachgar, est décidé à jouer pleinement la carte de l’opposition résolue au gouvernement.
Après l’élection des instances du parti, qui lui sont largement inféodées, le premier secrétaire de l’Union socialiste des forces populaires est très contesté en interne.
Très affaiblie, l’Union socialiste des forces populaires (USFP) s’apprête à élire son premier secrétaire. Sa mission : rendre au parti ses lettres de noblesse.