Maroc : soutenu par des barons de l’agrobusiness, Zalar surmontera-t-il la crise ?
Le spécialiste marocain de l’aviculture, qui a connu un développement rapide depuis 2009, continue au prix d’un endettement important, d’intéresser des investisseurs de premier plan.
Les 500 premières entreprises africaines face à la crise
Confrontées à une récession inédite liée à la crise sanitaire, les plus grandes entreprises africaines révisent leurs stratégies. Si certaines risquent la faillite, d’autres ont déjà identifié des opportunités de croissance. JA explore ces tendances dans le cadre de la publication de son classement annuel des 500 premières entreprises du continent.
À la fin de février, une semaine avant le début de l’épidémie de Covid-19 au Maroc, le conseil d’administration de Zalar Holding, qui chapeaute 21 entreprises du secteur avicole, accompagné par le cabinet international PwC, a opéré une réorganisation interne très remarquée.
Ali Berbich, administrateur général de l’entreprise depuis 2013, a été propulsé au poste de président du conseil d’administration, laissant sa place à Siham Benhamane, auparavant responsable des pôles nutrition animale et accouvage. La quinquagénaire accède à la tête d’une entreprise fondée en 1974 et toujours contrôlée par la famille Chaouni.
Le chiffre d’affaires de Zalar – 498,33 millions d’euros en 2018 – la place dans les 300 premières entreprises du continent, alors qu’elle a connu trois exercices déficitaires ces dernières années.
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L’intégration verticale, une priorité
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