DFC, « l’arme » de Trump pour contrer la Chine en Afrique

La nouvelle institution américaine cherche à contrer l’hégémonie chinoise dans les pays en développement, particulièrement sur le continent.

Adam Boehler, le DG de DFC et de Prosper Africa, le 14 avril, à Washington. © Alex Brandon/AP/SIPA

Adam Boehler, le DG de DFC et de Prosper Africa, le 14 avril, à Washington. © Alex Brandon/AP/SIPA

PhotodeprofilJoelAssoko3 (2)

Publié le 8 juillet 2020 Lecture : 1 minute.

Après de longs mois passés à « alerter » les gouvernants sur les dangers des financements « non transparents » de Pékin, l’administration Trump a lancé, en janvier 2020, U.S. International Development Finance Corporation (DFC). Cette institution consolide les actions auparavant menées par l’USaid et Overseas Private Investment Corporation (Opic), avec un plafond d’engagements doublé à 60 milliards de dollars.

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité