À Djibouti, l’hôtellerie enchaîne les nouvelles étoiles

La capacité d’hébergement de la capitale est encore insuffisante, mais plusieurs grandes enseignes, comme le français Accor, s’apprêtent, malgré la crise sanitaire, à ouvrir des établissements.

Le Kempinski, propriété du dubaïote Nakheel. © Vincent Fournier/JA

Le Kempinski, propriété du dubaïote Nakheel. © Vincent Fournier/JA

Rémy Darras © Francois Grivelet pour JA

Publié le 20 septembre 2020 Lecture : 2 minutes.

La pandémie ne fait pas peur au groupe Accor. Trois établissements de la chaîne hôtelière française s’installent à Djibouti à la suite d’un partenariat signé au début de septembre à Dubaï avec le groupe diversifié Kamaj (1 000 employés), actif dans les secteurs de l’immobilier, de la sécurité privée et de la distribution (avec notamment le Grand Marché de Riyad, composé d’une centaine de boutiques).

Cela faisait longtemps que le patron de Kamaj, l’homme d’affaires djiboutien Houssein Mahamoud Robleh, assistait aux conférences spécialisées dans l’hôtellerie en quête d’un associé. Il avait même engagé des discussions avec l’américain Marriott, présent à Djibouti avec un hôtel sous enseigne Sheraton.

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