Afrique centrale : comment sauver la Bourse de Libreville ?

L’incapacité de la Place boursière de Libreville à attirer les entreprises de la sous-région a poussé le régulateur à engager un cabinet de conseil international.

La Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (BVMAC). © DR

La Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (BVMAC). © DR

Publié le 15 juillet 2015 Lecture : 1 minute.

Grâce à un financement de la Banque mondiale, la Commission de surveillance du marché financier de l’Afrique centrale (Cosumaf) vient de confier au cabinet Roland Berger une étude sur le potentiel du marché financier de cette région.

Curieusement, cette étude intervient… sept ans après le lancement des activités de la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (BVMAC). Il faut dire que cette Bourse, dont le siège est à Libreville, n’a à ce jour réussi à coter qu’une seule entreprise : Siat Gabon (son département obligataire fonctionne en revanche de manière satisfaisante).

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Diagnostic

Pour établir un diagnostic, le cabinet Roland Berger va donc s’attacher à rencontrer tous les acteurs du secteur : autorités ministérielles, organisations patronales, chambre de commerce, entreprises du portefeuille de l’État, entreprises privées et sociétés financières.

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