Burundi : les rescapés de la radio
En période de crise politique, les journalistes sont souvent dans la tourmente.
![Bob Rugurika, directeur de la RPA (Radio Publique Africaine), en février 2015. © Martina Bacigalupo pour J.A.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2015/08/13/radio-Burundi.jpg)
Bob Rugurika, directeur de la RPA (Radio Publique Africaine), en février 2015. © Martina Bacigalupo pour J.A.
Au Burundi, au moment des élections du mois de juillet, certains se sont opportunément vu offrir par l’ambassade de France à Bujumbura une bourse de formation – ainsi qu’un visa, évidemment.
Les quatre journalistes ont en commun d’avoir travaillé pour la Radio publique africaine (RPA) ou pour la radiotélévision Renaissance – deux médias pris pour cible par le pouvoir pour avoir diffusé la déclaration des putschistes lors du coup d’État manqué du 13 mai. Depuis leur arrivée en France, ils suivent les cours d’été de l’École de journalisme de Lille.
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