Afrique du Sud : Otto Stehlik, l’hôtelier récidiviste

Face à la concurrence des grandes chaînes hôtelières telles que Marriott ou Radisson, ces patrons n’hésitent plus à investir dans le secteur, en développant une offre à la fois adaptée au tourisme d’affaires, ainsi qu’aux futurs vacanciers. Portraits de ces dirigeants africains. En Afrique du Sud, Otto Stehlik est le patron du jeune groupe hôtelier Bon Hotels.

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© Vincent Fournier pour JA

Publié le 6 octobre 2015 Lecture : 1 minute.

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Les patrons africains de l’hôtellerie

Pour accueillir touristes et hommes d’affaires, les entrepreneurs africains multiplient les investissements. Portraits de ces patrons qui comptent bien concurrencer Marriott, Radisson ou Accor.

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Début 2014, Otto Stehlik était encore à la tête de l’un des plus grands groupes hôteliers africains. Véritable icône de cette industrie, le Sud-Africain a depuis cédé les 116 établissements et les 10 148 chambres de sa chaîne Protea, présente dans sept pays du continent, à l’américain Marriott. Montant de l’opération : 186 millions de dollars (environ 137 millions d’euros).

Mais au lieu de se retirer et de profiter d’une retraite dorée, l’homme d’affaires a rejoint en mai dernier Bon Hotels, un jeune groupe hôtelier sud-africain fondé en 2012 et dirigé par son fils, Guy. Otto Stehlik doit apporter son expertise et son expérience pour l’expansion de Bon Hotels, spécialisé dans les trois- et quatre-étoiles.

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