Tunisie : coup de jeune à Ennahdha ?

La crise politique que traverse la Tunisie n’empêche pas les partis d’échafauder des scénarios pour les élections législatives et présidentielle de 2019.

Rached Ghannouchi, chef du parti Ennahdha © Ons Abid/J.A.

Rached Ghannouchi, chef du parti Ennahdha © Ons Abid/J.A.

Publié le 24 janvier 2016 Lecture : 0 minute.

Les dirigeants d’Ennahdha sont par exemple conscients que l’absence d’un candidat islamiste à la présidentielle de 2014 a fortement mécontenté la base du mouvement. Et ils n’ont nulle intention de répéter cette erreur lors du prochain scrutin. La tendance semble être au rajeunissement du leadership, quitte à mettre en avant de nouvelles figures qui ne soient pas issues de ses rangs.

Divers noms circulent, comme celui de l’homme d’affaires Iskander Rekik, un Sfaxien très conservateur qui a longtemps vécu aux États-Unis et a fondé en 2011 l’Alliance nationale pour la paix et la prospérité (ANPP).

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