Dix d’entre eux y sont ainsi arrivés en janvier. Déterminé à fermer cette prison extraterritoriale pour islamistes radicaux arrêtés sur le champ de bataille, le président américain achève de vider le camp en transférant ses hôtes vers d’autres pays. Mais le Yémen étant en guerre, la loi américaine interdit d’y renvoyer ses nombreux ressortissants incarcérés, et le voisin omanais est on ne peut mieux placé, géographiquement et diplomatiquement, pour les recevoir.
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