Centrafrique : Catherine Samba-Panza veut encore « servir »

Lors d’un voyage aux États-Unis, Catherine Samba-Panza a vanté son bilan et s’est dit prête à servir son pays, l’Afrique et pourquoi pas le monde.

Publié le 7 mars 2016 Lecture : 1 minute.

Standing ovation pour Catherine Samba-Panza (CSP) lors d’un débat à l’université George-Washington, le 1er mars, dans la capitale fédérale américaine. Présentée comme une « mère courage » par les animateurs, la présidente centrafricaine a vanté son bilan et a distribué quelques tacles appuyés.

Morceau choisi : « Contrairement à ce qui s’est passé dans certains pays voisins, moi, au moins, je n’ai pas modifié la Constitution pour aller aux urnes ! » À ses yeux, l’action de Michel Djotodia, son prédécesseur, a été « catastrophique », ce qui n’est guère contestable. Invitée par la Banque mondiale, CSP a profité de son séjour à Washington pour rencontrer Christine Lagarde, la patronne du FMI, le secrétaire d’État John Kerry, Susan Rice, la conseillère à la sécurité nationale, le parlementaire républicain Chris Smith, ainsi que les ambassadeurs du Rwanda, de l’Angola et de la RD Congo.

la suite après cette publicité

À moins d’un mois de la fin de son mandat, elle se sent « prête à servir [son] pays, l’Afrique, voire le monde ».

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image