Bénin : les Français n’en veulent pas à Talon

En marge de son investiture à la présidence, Patrice Talon a reçu, le 6 avril, Thomas Melonio, accompagné d’Aline Kuster-Ménager, l’ambassadrice de France au Bénin.

Patrice Talon vote le 20 mars 2016. © Valentin Salako/AP/SIPA

Patrice Talon vote le 20 mars 2016. © Valentin Salako/AP/SIPA

Publié le 12 avril 2016 Lecture : 1 minute.

L’adjoint d’Hélène Le Gal, la conseillère Afrique de François Hollande, était le seul représentant français à la cérémonie. L’entretien, qui a duré une petite heure, a pour l’essentiel été consacré à la coopération entre les deux pays. Pas rancuniers d’avoir été accusés par le camp Talon, parfois avec virulence, d’avoir imposé Lionel Zinsou comme Premier ministre puis comme candidat à la présidentielle, les dirigeants français ont transmis au nouveau chef de l’État béninois une invitation à se rendre à Paris.

Ce dernier a remercié la France de l’avoir accueilli pendant ses presque trois ans d’exil et a une nouvelle fois promis de quitter le pouvoir au terme de son mandat en cours.

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