Tombi à Roko Sidiki, le boss du football camerounais

Au pays de Paul Biya, tout paraît immobile. Pourtant, de nouveaux visages émergent, parmi lesquels celui de Tombi à Roko Sidiki.

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Publié le 28 juin 2016 Lecture : 1 minute.

Vue de Yaoundé, capitale du Cameroun. © Wikimedia Commons
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Les 50 qui feront le Cameroun

Au pays de Paul Biya, tout paraît immobile. Pourtant, de nouveaux visages émergent, notamment dans les espaces laissés vacants par l’État. Jeune Afrique est allé explorer ce vivier.

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La période d’incertitude sur la légalité de son élection, en septembre 2015, étant passée, le patron de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) peut se consacrer à l’organisation du Championnat d’Afrique féminin, que le pays accueillera en novembre et décembre. Un tour de chauffe pour Tombi à Roko Sidiki, longtemps resté dans l’ombre de son prédécesseur, Mohammed Iya.

Car la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2019, pour l’organisation de laquelle il a défendu la candidature du Cameroun devant la Confédération africaine de football (CAF), l’attend de pied ferme. Un sacré défi – notamment en matière de développement des infrastructures – pour le pays, qui avait déjà reçu la compétition… en 1972. Tombi à Roko Sidiki espère en tout cas que les Lions indomptables lui donneront un palmarès comparable à celui qu’ils ont offert à son prédécesseur : deux CAN et une médaille d’or aux Jeux olympiques. Le chantier paraît titanesque.

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