Emprunts : comment le Togo a garanti son sukuk
Pour lancer son emprunt sukuk de 150 milliards de F CFA (228,7 millions d’euros) le 20 juillet, l’État togolais a dû mettre en gage une partie de son patrimoine immobilier.
![Lomé, le 3 janvier 2012. © David Bacon / Flickr creative commons](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2016/07/03/6717151255_201c91d2ae_z.jpg)
Lomé, le 3 janvier 2012. © David Bacon / Flickr creative commons
Dans une correspondance adressée à la société Taiba Titrisation, en sa qualité de société de gestion du Fonds commun de titrisation de créances (FCTC), et à la Banque islamique du Sénégal, dépositaire des actifs du FCTC, Sani Yaya, le ministre délégué du Budget du Togo, fait l’inventaire des biens de l’État qui serviront de garantie à l’opération : douze actifs de l’État, dont les sièges de Togo Telecom, de l’Office togolais des recettes, de la Loterie nationale togolaise ou encore de l’Union togolaise de banque. Guy Madjri, expert-comptable du cabinet Deloitte Togo, a été désigné commissaire aux comptes de cette opération.
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