Un lifting pour la Ligue des champions africaine

L’actuelle formule de la Ligue des champions africaine, qui date de 1997, vit ses derniers mois.

Issa Hayatou, président de la CAF (Confédération africaine de football), le 11 juin 2015 à Paris. © Jacques Torregano pour Jeune Afrique

Issa Hayatou, président de la CAF (Confédération africaine de football), le 11 juin 2015 à Paris. © Jacques Torregano pour Jeune Afrique

Alexis Billebault

Publié le 1 septembre 2016 Lecture : 1 minute.

Les joueurs du club de football TP Mazembe affrontent le club Lubumbashi Sport, au stade Mazembe à Kamalondo, une commune de Lubumbashi, en RD Congo, le 04 mars 2015. © Gwenn Dubourthoumieu pour Jeune Afrique
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Le business du sport en Afrique

« Jeune Afrique » présente un dossier inédit consacré à l’économie du sport sur le continent, des questions de financement des clubs aux challenges de la formation des jeunes et à la stratégie marketing, avec un focus sur la franchise City Sport (ses ambitions, sa méthode, ses concurrents).

Sommaire

Le 29 septembre, en Égypte, au Caire, le groupe de travail présidé par Mohamed Raouraoua, le président de la Fédération algérienne, présentera ses conclusions au Comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF) pour la réforme de la C1, souhaitée par son président, Issa Hayatou.

Formule élargie

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La phase de groupe actuelle, avec huit équipes, va disparaître au profit d’une formule élargie à seize formations, réparties en quatre groupes de quatre. Cela permettra à la CAF d’engranger des droits télévisés supplé­mentaires, dont une partie sera redistribuée aux clubs concernés. Pour rappel, ces sept dernières années, la CAF a encaissé 71,5 millions de dollars de droits de retransmission de la Ligue des champions et de la Coupe de la CAF.

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