Algérie : cette loi que n’aime pas Bouteflika
La première mouture de l’avant-projet de loi de finances 2017 préparée par le gouvernement n’a pas été du goût d’Abdelaziz Bouteflika.
![Le président algérien Abdelaziz Bouteflika. © AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2016/05/11/sipa_ap20819017_000005.jpg)
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika. © AP/SIPA
Selon des sources proches de la présidence, ce dernier a demandé à l’exécutif de revoir sa copie avant qu’elle ne passe en Conseil des ministres pour approbation.
À la lecture du texte, le chef de l’État s’est inquiété des nouvelles taxes et de la hausse des prix des produits de première nécessité (carburant, électricité, produits alimentaires…). Signe de cette inquiétude, la présidence a ajourné un Conseil des ministres restreint qui devait être consacré à l’examen de cet avant-projet.
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