Biens mal acquis : France vs Guinée équatoriale, la suite
C’est la fin du premier volet d’une longue bataille judiciaire.
Dans sa décision du 7 décembre, la Cour internationale de justice (CIJ) a reconnu le caractère diplomatique de l’immeuble parisien de l’avenue Foch – immeuble que la France soupçonne Teodoro Nguema Obiang Mangue d’avoir acquis pour son usage personnel.
D’ici au 3 janvier 2017, Malabo doit remettre à la CIJ ses arguments tendant à prouver que le fils du président équato-guinéen bénéficiait d’une immunité diplomatique lors de sa mise en examen dans le cadre de l’affaire dite des « biens mal acquis ». Cela le mettrait à l’abri d’une éventuelle condamnation.
La France aura ensuite six mois pour présenter des arguments contraires.
La Matinale.
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