Tunisie : le réveil de la gauche

Excédée par l’immobilisme imposé selon elle par les deux principales formations du pays, Ennahdha et Nidaa Tounes, la gauche tunisienne se remet en selle.

A Carthage en janvier 2016. © Riadh Dridi/AP/SIPA

A Carthage en janvier 2016. © Riadh Dridi/AP/SIPA

Publié le 4 avril 2017 Lecture : 1 minute.

Des personnalités des mondes politique, entrepreneurial, artistique et de la société civile s’apprêtent à lancer « l’appel des trente ».

Objectif : créer une large plateforme de gauche qui mettra l’accent sur des réformes structurelles, aussi bien économiques que sociales. Censé déboucher sur la constitution d’une véritable force politique, ce mouvement adopte une démarche pragmatique en s’adressant à un vaste public, qui pourra avancer des propositions.

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Société civile

À l’origine de cette initiative, les universitaires Rym Ben Salah et Boutheina Ferchiou, la présidente de la Foundation for the Future (FFF), Nabila Hamza, l’économiste Abdeljalil Bedoui, le sociologue Aziz Krichen et le directeur de l’Institut maghrébin pour les études stratégiques (Imes), Tahar Chegrouche.

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