Élections : les technologies biométriques de plus en plus présentes en Afrique

Le 5 septembre, le président de la Commission électorale nationale indépendante de RD Congo, Corneille Nangaa, s’est dit favorable à l’utilisation de « machines à voter » lors de la prochaine présidentielle.

Les technologies développées par Gemalto sont utilisées pour de nombreux scrutins africains. © Jeune Afrique

Les technologies développées par Gemalto sont utilisées pour de nombreux scrutins africains. © Jeune Afrique

Publié le 25 septembre 2017 Lecture : 0 minute.

Si on les utilise très rarement sur le continent, les technologies biométriques sont de plus en plus présentes lors des scrutins. Ces outils, principalement fournis en Afrique par trois grands leaders (OT-Morpho – ex-Safran –, Gemalto et Zetes), visent à améliorer la fiabilité des résultats mais sont parfois critiqués.

« Les acteurs politiques s’en servent comme de n’importe quel autre outil pour contester ce qu’ils veulent contester », constate Marie-Emmanuelle Pommerolle, directrice de l’Institut français de recherche en Afrique, ajoutant que des institutions fortes sont nécessaires pour garantir leur bon usage.

Sources : Institut International pour la Démocratie et l'Association Electorale (IDEA), OT-Morpho, Gemalto et Zetes © Source : Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale (Idea), OT-Mopho, Gelmato et Zetes.

Sources : Institut International pour la Démocratie et l'Association Electorale (IDEA), OT-Morpho, Gemalto et Zetes © Source : Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale (Idea), OT-Mopho, Gelmato et Zetes.

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