Zimbabwe : Grace Mugabe soupçonnée de trafic d’ivoire
L’ex-première dame est soupçonnée d’être impliquée dans un trafic illégal d’exportations de défense d’éléphants à destination de la Chine, des Émirats ou encore des États-Unis.
![Robert Mugabe et son épouse, Grace, le 9 novembre 2017 à Harare, avant la démission de l’ex-président du Zimbabwe. © Tsvangirayi Mukwazhi/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/12/11/sipa_ap22127720_000003.jpg)
Robert Mugabe et son épouse, Grace, le 9 novembre 2017 à Harare, avant la démission de l’ex-président du Zimbabwe. © Tsvangirayi Mukwazhi/AP/SIPA
La révélation est venue du Sunday Mail, hebdomadaire proche du gouvernement zimbabwéen, le 25 mars. La police enquête sur un trafic d’ivoire dans lequel le nom de l’ex-première dame Grace Mugabe est cité.
Lorsque son mari était au pouvoir, son entourage aurait fait pression sur l’Autorité de gestion des parcs et des animaux sauvages pour qu’elle signe des autorisations d’exportation vers la Chine, les Émirats ou encore les États-Unis.
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