Burkina Faso : l’opposition dit oui au référendum
L’opposition, conduite par Zéphirin Diabré, a accepté le principe de la voie référendaire pour la réforme constitutionnelle.
![Roch Marc Christian Kaboré au siège européen des Nations unies, à Genève, le 16 octobre 2017. © Salvatore Di Nolfi/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/05/24/sipa_ap22117780_000001.jpg)
Roch Marc Christian Kaboré au siège européen des Nations unies, à Genève, le 16 octobre 2017. © Salvatore Di Nolfi/AP/SIPA
Fin mai, lors d’une rencontre avec l’opposition, que dirige Zéphirin Diabré, Roch Marc Christian Kaboré a indiqué à ses interlocuteurs qu’il soumettrait la réforme constitutionnelle à référendum. Ceux-ci ont accepté, mais souhaitent qu’il soit organisé au plus tard en décembre 2018, alors que le chef de l’État a opté pour 2019.
Kaboré avait d’abord privilégié la voie parlementaire, jugée moins coûteuse, mais le Conseil constitutionnel l’en a dissuadé.
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