Maroc : ringardes, les Dar Chabab ?

La mondialisation, l’internet et surtout les réseaux sociaux semblent bien avoir mis un terme aux années fastes des Dar Chabab (« maisons des jeunes »).

Des jeunes contre un mur au Maroc. © Flickr/CC/David Rosen

Des jeunes contre un mur au Maroc. © Flickr/CC/David Rosen

fahhd iraqi

Publié le 3 août 2018 Lecture : 2 minutes.

Étudiants de la faculté Ben M’sik de Casablanca. © Camille Millerand/Divergence
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Maroc : l’atout jeunes

Qu’ils soient diplômés ou non, les 15-34 ans sont l’une des principales ressources du royaume. Formation, accès à l’emploi, à la culture : il est temps qu’ils profitent un peu plus de la croissance.

Sommaire

C’est dans les quartiers ouvriers d’un Maroc à peine indépendant que, non sans arrière-pensée politique, ont émergé les Dar Chabab (« maisons des jeunes »). Pendant des décennies, elles ont permis à des centaines de milliers d’enfants et de jeunes de s’initier à différentes formes d’expression artistique – théâtre, musique, danse… – et d’aiguiser leur appétit d’animations culturelles.

Véritables pépinières de talents, elles fourniront même le gros du contingent des artistes qui ont laissé leur empreinte dans la mémoire collective des cinquante dernières années.

Bien s’informer, mieux décider

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