Financement du terrorisme : la Tunisie présente des signes de défaillance, selon le Gafi

La Tunisie, sortie de la liste noire des pays exposés au financement du terrorisme, présente encore des défaillances, selon le dernier rapport du Groupe d’action financière internationale (Gafi).

Le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, à Tunis, le 6 février 2015. © Hassene Dridi /AP/SIPA

Le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, à Tunis, le 6 février 2015. © Hassene Dridi /AP/SIPA

Publié le 12 août 2018 Lecture : 1 minute.

En novembre 2017, le Groupe d’action financière internationale (Gafi), organisme intergouvernemental ciblant la lutte contre les circuits financiers du terrorisme, range la Tunisie parmi « les pays à hauts risques et non coopératifs susceptibles d’être fortement exposés au blanchiment de capitaux et au financement du terrorisme ». Avant de réviser son jugement et de classer la Tunisie dans les « pays sous surveillance ».

En février dernier, c’est le Parlement européen qui s’en mêle : il inscrit la Tunisie sur « la liste noire des pays défaillants en matière de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme ».

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