RDC : des centrales qui rassemblent les énergies
Du barrage de Sanga, à l’ouest, au parc solaire de Manono, à l’est, les opérateurs privés participent à la modernisation des infrastructures de production et de transport d’électricité. Une contribution indispensable et salvatrice pour la RDC.
RDC : grandeur nature
Les candidats à la présidentielle sont désormais connus. Quelle que soit l’issue du scrutin, prévu en décembre, les défis politiques, économiques et sociaux à relever sont aussi immenses que le sont le pays, ses démons et ses atouts.
En dépit d’une puissance installée de 2 500 mégawatts (MW) et d’un potentiel évalué à 100 000 MW, la RD Congo ne dispose dans la pratique que de 1 000 MW d’électricité. Une offre qui, bien qu’en nette amélioration grâce aux initiatives engagées récemment, reste encore très en deçà des besoins du pays, estimés à 1 600 MW, au minimum.
Une carence imputable à une maintenance insuffisante des installations existantes, ainsi qu’au manque d’investissements, tant pour rénover les centrales et les lignes de transport d’électricité que pour en construire de nouvelles.
Partenariats public-privé
Ces dernières années, des montages ont été mis en place, dans le cadre de partenariats public-privé (PPP), pour commencer à pallier ce déficit. Les financements émanant du privé sont apportés par des compagnies minières étrangères, lesquelles veulent éviter que les activités d’exploitation de leurs filiales dans le pays ne soient freinées par le manque d’électricité.
Bien s’informer, mieux décider
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