Afrique centrale : libre circulation… conditionnelle

Bien qu’entérinée, la libre circulation des ressortissants de la Cemac reste freinée par différents facteurs, dont le transport.

Drapeaux des pays membres de la Cemac au siège de l’organisation, à Bangui, en 2016 © Vincent Fournier/Jeune Afrique/

Drapeaux des pays membres de la Cemac au siège de l’organisation, à Bangui, en 2016 © Vincent Fournier/Jeune Afrique/

Publié le 20 septembre 2018 Lecture : 1 minute.

Drapeaux des pays membres de la Cemac au siège de l’organisation, à Bangui, en 2016 © Vincent Fournier/Jeune Afrique/
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Afrique centrale : l’heure de la relance ?

L’heure de la relance a sonné pour les pays de la Cemac, qui doivent maintenant diversifier leurs économies dans une logique d’intégration. C’est tout l’enjeu du sommet de Malabo, prévu en novembre.

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Cela n’a pas été sans peine. Après le Cameroun et le Tchad, la Guinée équatoriale, le Gabon, le Congo et la Centrafrique ont entériné fin 2017 la suppression des visas pour les ressortissants de la Cemac circulant au sein de cet espace. Pour la libre installation de ceux-ci, en revanche, il faudra attendre.

Bien qu’entérinée, la libre circulation des personnes reste freinée par différents facteurs, dont le transport. Les connexions routières sont insuffisantes, les liaisons fluviales, souvent inopérantes, et relier deux capitales de la Cemac par les airs demeure compliqué. Les billets d’avion coûtent cher et les tentatives de création d’une compagnie sous-régionale se sont soldées par un échec. La mutualisation des flottes nationales pourrait être une solution.

 © DOM

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