Soudan : Omar el-Béchir, le glaive et le Coran
Recherché par la CPI, le président soudanais ne cesse de voyager. Habile, Omar el-Béchir a su se rendre indispensable sur la scène internationale et pourrait même se représenter en 2020.
![Le président soudanais Omar el-Béchir, avec le président chinois, Xi Jinping, le 2 septembre, à Pékin. © nicolas asfouri/Getty Images/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/12/07/29867hr_-e1544402697569.jpg)
Le président soudanais Omar el-Béchir, avec le président chinois, Xi Jinping, le 2 septembre, à Pékin. © nicolas asfouri/Getty Images/AFP
Il est du genre tenace. En mars 2009, quand il a été inculpé de génocide par la Cour pénale internationale (CPI), beaucoup l’ont cru fini. Mais depuis, il a fait 150 voyages à l’étranger, a été reçu en Chine par Xi Jinping et en Russie par Vladimir Poutine… Loin d’être un homme traqué, Omar el-Béchir nargue les juges de La Haye.
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