La Belgique ne veut pas se limiter à la RDC pour faire des affaires
Contrairement à certaines idées reçues, la Belgique n’a pas tiré sa prospérité du Congo, lequel, dans le même temps, ne lui aurait rien coûté non plus.
![Didier Reynders, ministre fédéral des Affaires étrangères et européennes de la Belgique, à la tête d’une délégation de 469 chefs d’entreprise au Maroc en novembre 2018, en compagnie de la princesse Astrid © BELGA/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/12/13/29992hr_-e1545263171461.jpg)
Didier Reynders, ministre fédéral des Affaires étrangères et européennes de la Belgique, à la tête d’une délégation de 469 chefs d’entreprise au Maroc en novembre 2018, en compagnie de la princesse Astrid © BELGA/AFP
Des comptes à l’équilibre, aux moins jusqu’aux années 1960. Mais la Belgique n’était déjà plus là. Trois décennies plus tard, ses banques et ses principales entreprises désertaient la place à leur tour, au moment de la chute du président Mobutu. Elles ne sont pas revenues.
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