Algérie : les élections sénatoriales du 29 décembre, dernier tour de chauffe avant la présidentielle
Le scrutin sénatorial du 29 décembre pourrait aboutir à une subtile redistribution des cartes avant la présidentielle de 2019.
![Dans un bureau de vote à Alger, lors du scrutin de ce 23 novembre 2017 en Algérie (illustration). © Toufik Doudou/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/11/24/sipa_ap22133185_000006.jpg)
Dans un bureau de vote à Alger, lors du scrutin de ce 23 novembre 2017 en Algérie (illustration). © Toufik Doudou/AP/SIPA
![C’est de la Tunisie qu’est parti l’élan révolutionnaire et démocratique de 2011. © Augustin LE GALL/HAYTHAM-REA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/12/19/30138hr_.jpg)
Maghreb : la paix en votant
En 2019, la Tunisie, l’Algérie, la Mauritanie et probablement la Libye appelleront les électeurs aux urnes. Dans des contextes politiques totalement différents, mais avec un maître mot commun : stabilité.
Sans tambour ni trompette. Dans les rues de la capitale, difficile de déceler la moindre trace des élections sénatoriales du 29 décembre. Ni affiche ni banderole. Pas même un tract. C’est que le renouvellement de la moitié des membres du Conseil de la nation est avant tout une affaire de tractations en coulisses. « Certains candidats mettent jusqu’à 30 millions de dinars (environ 222 000 euros) sur la table pour acheter des voix », déplore le responsable d’une formation politique de la mouvance démocratique.
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