Présidentielle en Algérie : comment le report du scrutin a fait pschitt

Abandonnée mi-janvier quand le corps électoral a été convoqué pour le 18 avril prochain, l’idée d’un report de l’élection présidentielle avait pourtant été acceptée un mois plus tôt lors d’une réunion à laquelle assistaient notamment le Premier ministre et Saïd Bouteflika, le frère de l’actuel président.

L’ancien président algérien Abdelaziz Bouteflika lors de sa réélection le 10 avril 2009, conduit par son petit frère Saïd. © AP/SIPA

L’ancien président algérien Abdelaziz Bouteflika lors de sa réélection le 10 avril 2009, conduit par son petit frère Saïd. © AP/SIPA

Publié le 1 février 2019 Lecture : 1 minute.

Le 19 décembre dernier, lors d’une réunion à la résidence d’État de Zeralda, l’éventualité d’un report de l’élection présidentielle a été envisagée. Figuraient parmi les participants deux conseillers à la présidence, deux anciens ministres ainsi qu’Ahmed Ouyahia, le Premier ministre, et Saïd Bouteflika, conseiller d’Abdelaziz Bouteflika.

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