Burkina Faso : ce que devrait changer la nouvelle Constitution

Limitation des mandats du président, rééquilibrage des pouvoirs, abrogation de la peine de mort… Ce que contient la nouvelle Constitution promise par le président Roch Marc Christian Kaboré.

Roch Marc Christian Kaboré à Paris, le 3 septembre 2015. © Vincent Fournier/Jeune Afrique

Roch Marc Christian Kaboré à Paris, le 3 septembre 2015. © Vincent Fournier/Jeune Afrique

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Publié le 9 mai 2019 Lecture : 1 minute.

Roch Marc Christian Kaboré. © Vincent Fournier pour JA
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Burkina Faso : dix huit mois pour convaincre

Malgré de réels progrès dans de nombreux domaines, les attentes de la population sont encore grandes. À charge pour le chef de l’État, Roch Marc Christian Kaboré, de les satisfaire avant la présidentielle de 2020.

Sommaire

Promise par le président Kaboré lors de sa campagne électorale de 2015, la nouvelle Constitution, qui doit mettre fin à la IVe République, se fait encore attendre. L’actuelle loi fondamentale avait été instaurée sous la présidence de Blaise Compaoré : entrée en vigueur en 1991, elle a été révisée en 1997, puis en 2000, à la suite de la crise née de l’assassinat du journaliste Norbert Zongo.

Préparé par une commission dirigée par Me Halidou Ouédraogo, le projet de Constitution de la Ve République repose sur un régime semi-présidentiel.

Parmi les principaux changements :

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