Maroc : « Une urgence ordinaire », un inquiétant diagnostic du système hospitalier

Avec « Une urgence ordinaire », le réalisateur Mohcine Besri ausculte la société marocaine dans le cadre d’un huis clos hospitalier.

« Une urgence ordinaire », du réalisateur Mohcine Besri. © Louise productions

« Une urgence ordinaire », du réalisateur Mohcine Besri. © Louise productions

Arianna Poletti

Publié le 24 mai 2019 Lecture : 2 minutes.

Comme le dit Mohcine Besri, qui représentait le Maroc au 17e Festival international du film de Marrakech : « Il existe deux façons de dresser le bilan d’une société : observer une école publique ou un hôpital. » C’est pourquoi, de la première minute à la quatre-vingt-cinquième d’Une urgence ordinaire, le réalisateur suisso-marocain ne sort jamais d’un huis clos. Il l’avait déjà fait pour son deuxième long-métrage, Les Mécréants, qui lui avait permis d’être récompensé au Cairo International Film Festival en 2012.

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