Tunisie-France : quand Rached Ghannouchi et Ennahdha font du soft power
Le président d’Ennahdha Rached Ghannouchi a profité d’une visite d’une semaine en France pour « donner une image rassurante » du parti à référentiel islamique.
![Rached Ghannouchi, leader de la formation islamiste Ennahdha, lors d’un meeting à Tunis en février 2013. © Amine Landouls/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/09/18/sipa_ap21363515_000006-e1505715319646.jpg)
Rached Ghannouchi, leader de la formation islamiste Ennahdha, lors d’un meeting à Tunis en février 2013. © Amine Landouls/AP/SIPA
En visite en France du 14 au 20 mai, Rached Ghannouchi, le chef d’Ennahdha, a multiplié les rendez-vous : au Quai d’Orsay avec Jean-Baptiste Lemoyne, le secrétaire d’État aux Affaires étrangères ; au Sénat avec Gérard Larcher, son président ; à l’Assemblée nationale avec Marielle de Sarnez, qui y préside la commission des affaires étrangères, etc.
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